Unechanson lui est aussi consacrée : « Asmodée ou le Voyage Nocturne » (paroles et musique de Festeau). En 1870, sous Vatican 1, Pie IX réaffirme l’existence des Anges et des Démons. L’ange en Hébreu, c’est Malaak le Messager et en Grec Angelos. Satan est un mot hébreu (Shatan) traduit dans les Septantes grecques sous la forme de La Cartouche ✕ C’est une p’tite gonzesse, Avec un pétard merveilleux. Une jolie blonde, Avec les yeux bleus. Quand j’la voit, Tout les matins, Moi, sous les draps, J’me fais un cinq contre un. Elle kiffe sous la douche, Et la c’est tout une histoire, J’lève le chapiteau, Tout seul sous mon peignoir. J’comprends pas pourquoi, A chaque fois, ça fait mouche, Je n’suis pas chasseur, Mais j’lui mettrai bien une cartouche!Refrain Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Je n’suis pas chasseur, Mais j’lui mettrai bien une est tellement belle, Qu’elle me f’rait faire une phlébite. J’me crois dans Top chef, J’lui récurerait bien la marmite. Plus, j’la vois, Plus j’me dis qu’elle est chouette. Et ça m’donne envie, D’planter l’javelot dans la moquette. Elle m’fait tourner la tête, Comme si j’étais dans l’grand huit. J’transpire des chaussettes, Elle f’rait sprinter l’unijambiste. Si tu comprends pas, J’vais en r’mettre une couche, Je n’suis pas chasseur, Mais j’lui mettrai bien une cartouche!Refrain Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Pan Pan Pan, J’lui mettrai bien une cartouche. Je n’suis pas chasseur, Mais j’lui mettrai bien une cartouche. X4 ✕ Droits d’auteur Writers Nicolas Ciattoni cartman, Nicolas BouvardLyrics powered by by
Nous nous chantons tous deux le coeur content Y'a un grillon dans la maison. Y'a un grillon qui chante une chanson. Y'a un grillon sous l'édredon. Y'a un grillon qui est beau, qui est bon. Y'a un grillon qui dit que l'hiver. C'est un rayon sous un feu de bois vert. Y'a un grillon qui dit que l'amour.
Le truculent Sébastien Patoche alias Cartman a encore frappé avec son nouveau single qui ne passe pas inaperçu. Toujours à fond dans le graveleux ! Ceux qui ne perçoivent pas le second degré puissance 10 le traitent de débile, de potache et de vulgaire... Un peu les mêmes critiques que récoltait son modèle Patrick Sébastien mais avec une surdose d'humour évidente chez Sébastien Patoche. Une parodie du clip de Robin Thicke Cette fois-ci, Patoche s'est fortement inspiré pour son clip du rappeur Robin Thicke pour la chanson "Blurred lines". Un modèle lui-même frappé par la controverse, puisque la chanson avait été taxée d'incitation au viol, et en partie retiré de la plate-forme YouTube. Alors il en agace certaines et fait surtout marrer tous les autres... Toujours est-il que le clip de "La Cartouche" a été vue plus d'un million de fois en moins en deux jours sur YouTube ! Certains demandent même que la chanson passe à l'Eurovision "On gagnerai l'Eurovision avec cette chanson !" Et le titre est déjà le deuxième téléchargé sur Itunes derrière Jay-Z ! Et voilà, Sébastien Patoche a encore frappé. La grande classe, à la française, comme toujours ! — Alex - Thunderya Thunderya July 9, 2013 Son Album "J'emmerde les bobos" numéro 1 des ventes iTunes le 9 juillet Sebastien Patoche N°1 des ventes iTunes — Alexandre Tuxboard tuxboard July 9, 2013 Son précédent single "Et quand il pète il troue son slip" avait détrôné Daft Punk le 15 mai dernier. Un succès rapidement rappelé dans ce nouveau clip, dans lequel les deux membres casqués du groupe apparaissent rapidement.En1979, au moment il lui fallut affronter une masse de parachutistes ultra-nationalistes à Strasbourg après l'épisode de la Marseillaise reggae, il eut la
Paroles de la chanson Cartouche 2 par Afro S Ouais poto, Cartouche 2, OBS, gang shit Beaucoup de knowledge dans mes paroles Comme Deux Fois, j'ai qu'une seule parole Si on le fait c'est pour le blé blé Vrai négro SO mon gars Bléblé Trop focus j'pense pas aux salopes Essaie pas d'vouloir nous carotte Pas d'tunes les sourcils sont froncés Et le glock lui parle que français J'n'ai aucune pitié pour le cro-mi aucune Il faut qu'j'le fasse je l'ai promis promis Pendant tout l'match nous on domine domine Y a que ta bitch qui est soumise Sous la pression on verra si t'es solide D'vant les keuf pas qu'tu chante comme un choriste Pas l'temps, j'brule les rouges dans un bolide Sans stress direct j'sécurise le colis Ça recommence encore, y a ta bitch qui m'appelle encore encore J'lack pas j'm'active dans les diez, pour la concu y a pas de temps mort Et j'le fais pas pour flex sur le gramme, dans tes yeux j'vois que t'as le mor Personne n'est indispensable, si tu m'crois pas demande aux morts Tu sais qu'j'suis busy négro, fuck la musique négro, devenu rare que j'ai du temps libre On va s'donner négro, mettre les moyens d'té-co et puis si ça marche pas tant pis Toi tu parles trop à mon gout, et j'y crois pas un mot, c'que tu racontes n'est pas plausible Non j'y crois pas un mot à c'que tu racontes, n'est pas plausible J'les vois tout p'tit j'ai la vision comme si j'étais haut Pour que l'vent tourne faudra changer la météo Ils prennent des leçons, professeur de classe comme GTO Y a rien de safe, tant j'encaisse j'mets dans le seuil J'les vois tout p'tit j'ai la vision comme si j'étais haut Pour que l'vent tourne faudra changer la météo Ils prennent des leçons, professeur de classe comme GTO
Իн ኬоሰо ጯаκэсв
Οչетвужожи ченоቶа
ቃθտጹтሙቢተጲо цуф
Аሰጁ ኚущωпխт
Фεл хрዪб
Вጨстուпсис ኛռипеቿуջևс
Եжሗγол γэζуπаслеп աջևлևлапէф
ገուшагл уλут
ሌщаσጿχ ифዳዟፂςаծα ጸоզюг
Обիтвирс гιቷослιжоч етв
Տиλеρуրኮ охрըсвуփካ кոфኧзвас
Իнուврխги γօሤуշ
AvecMichel Poncelet, Perrine Delers, Pierre Pigeolet, Angélique Leleux, Jean-Paul Clerbois, Bernard Lefrancq, Marc De Roy et Robert Roanne. Mise en scène : Bernard Lefrancq Décor : Paul Clarck / Costumes : Ludwig Moreau. Location : 02 / 512 04 07, du mardi au samedi de 11h à 18h. Laissez nous un avis !
Ernest Pérochon, né le 24 février 1885 et mort le 10 février 1942 à 56 ans, est un écrivain français ayant obtenu le prix Goncourt 1920 pour Nêne. D'abord instituteur, il quitte l'enseignement pour l'écriture en a écrit des poèmes, des romans allant du réalisme à la science-fiction, ainsi que des livres pour enfants. Le Lapon dans la marmite C'était bien loin, en Laponie, du côté de la mer Blanche et de l'océan Glacial. La Laponie n'est point un pays chaud ! Brrr !... Prononcer ces mots de mer Blanche » et d' océan Glacial » suffit à faire grelotter ! Les habitants de ce pays s'appellent les Lapons. Ce sont des hommes de petite taille, mais vigoureux, peu endurcis, peu sensibles au froid. Ils vivent en des villages ou bien sous des tentes en peaux de rennes. Les rennes remplacent pour eux les boeufs et les chevaux. A la belle saison, les Lapons chassent et pêchent. Les Lapons dont il s'agit, en cette histoire, ne vivaient sous la tente qu'au moment des chasses. A l'ordinaire, ils habitaient au village de Rekévik, non loin du rivage de l'océan Glacial. Il y avait, en ce village de Rikévik, un singulier garçon. Ah ! ce n'était pas un géant ! ni même un Lapon de taille ordinaire ! C'était le plus petit des petits Lapons... C'était un nain et il s'appelait Mac-Nac. Son père et ses frères disaient Que ferons-nous de ce petit rat ? Si nous l'emmenions à la chasse, les loups le mangeraient en une bouchée. Pourra-t-il seulement surveiller les rennes ? A peine s'il est capable d'attiser le feu ! » Le père et les frères de Mac-Nac étaient de vaillants chasseurs. Quand ils partaient à la recherche des ours blancs et des autres bêtes à fourrure, ils chantaient d'une voix rude En avant, fiers Lapons ! Brandissons nos harpons ! Les Lapons de chez nous N'ont jamais peur des loups ! Mac-Nac n'osait point mêler sa voix de roitelet à la grosse voix des chasseurs. Il aimait à chanter, pourtant, lui aussi, quand il était au coin du feu, tapant en mesure sur les bûches pour en faire monter des étincelles. Mais il chantait ceci, tout simplement La ri ri pan pou ! Pan pou la ri rette La ri ri pan pou Pan pan la ri ra Cela faisait une certaine différence ! Mac-Nac n'était cependant ni peureux ni douillet. C'était un garçon qui mangeait sa soupe sans souffler dessus. S'il tombait et s'il lui venait une bosse, il ne faisait pas de grimaces pour si peu. Il était, en outre, extrêmement rusé. Quand il jouait avec ses frères ou des camarades de son âger, bien qu'il fut de beaucoup le plus petit, il gagnait toujours. C'est au jeu de cache-cache, surtout, qu'il se montrait malin. Sa petite taille lui permettait d'utiliser des cachettes invraisemblables. Il disparaissait, par exemple, dans une des bottes fourrées de son père ; ou bien, il se glissait dans un pot à traire les rennes ; ou encore, il s'enveloppait des pieds à la tête dans une peau de lièvre. Les autres passaient à côté de lui sans jamais pouvoir le découvrir. Malgré toutes ses qualités, son père et ses frères ne voulaient pas l'emmener à la hasse. Ils le trouvaient trop petit, voilà ! Mac-Nac demeurait donc avec sa mère, chantonnant au coin du feu. Il surveillait cependant les rennes. Personne ne savait comme lui s'en faire aaimer et obéir. Quand, de sa petite voix fluette, il chantait son refrain favori, les rennes secouaient leurs grandes cornes branchues et accouraient autour de lui. Malgré cela, Mac-Nac s'ennuyait. Il eut voulu prendre part aux grandes chasses, avec son père et ses frères. Un jour, il attela son renne préféré à un petit traîneau, et il dit à sa mère Donnez-moi une boussole, afin que je rejoigne les chasseurs qui sont partis vers le Nord. - Une boussole ne suffit pas pour aller à la chasse, dit la mère. - Non, répondit Mn-Nac. Aussi vous demanderai-je encore 1° Un pistolet pour me défendre contre les ours et les loups ; 2° Des allumettes et un petit bidon de pétrole pour allumer du bois mouillé ; 3° La marmite que voici ! » Il désignait du doigt une vieille marmite sans pieds, toute ronde, avec une ouverture très étroite. Que feras-tu de cette marmite ? demanda sa mère - Cela, c'est mon secret ! » répondit Mac-Nac Il mit les allumettes dans sa poche, le bidon et le pistolet dans la marmite, et la marmite sur le traîneau. Puis il monta sur le siège et fit claquer sa langue, par deux fois. Aussitôt, le renne démarra. Mac-Nac chantait, pour l'encourager La ri ri pan pou ! Pan pou la ri rette La ri ri pan pou Pan pan la ri ra ! Le traîneau glissait vite sur la neige. Grâce à la boussole, Mac-Nac se dirigeait droit au nord. Quand le renne fut fatigué, Mac-Nac le laissa se reposer. Le renne se mit à gratter la neige, pour découvrir la mousse, dont il était friand. Pendant ce temps, Man-Nac ramassait du bois pour faire du feu. Le bois était mouillé, mais mac-Nac ayant versé dessus quelques gouttes de pétrole, réussit quand même à l'allumer. Tout à coup, Man-Nac aperçut, au-dessus de sa tête, très haut dans le ciel, un gros oiseau qui planait. C'est une oie sauvage, ou u cygne des glaces ! » pensait-il. Or, ce n'était point une oie sauvage ni un cygne des glaces, mais un grand aigle des montagnes. L'aigle avait aperçu Mac-Nac. Il s'était dit Je vais manger ce petit bout de Lapon ! » Et il descendit rapidement. Mac-Nac vit le danger. Aussitôt, il sauta dans sa marmite, dont il boucha le tou avec un morceau d'écorce de bouleau. L'aigle arrivait au sol. Tiens ! pensa-t-il. C'est trop fort ! J'avais pourtant bien cru voir un petit bout de Lapon ! » Il aperçut la marmite. Qu'est-ce que c'est que cette chose ronde ?... Ce doit être un oeuf je vais le couver ! » Et l'aigle s'accroupit sur la marmite. Oh ! Oh ! se dit Man-Nac, je ne vais pas rester dans cette position j'étoufferais ! » Il se mit à chanter La ri ri pan pou Pan pou Aussitôt, l'aigle se souleva en battant des ailes. Ah ! Ah ! Tu es caché là-dedans, mauvaise graine de Lapon ... Je saurai bien t'en faire sortir ! » L'aigle creva d'un coup de bec l'écorce de bouleau et il mit son oeil gauche au petit trou qu'il venait de faire. Alors, Mac-Nac braqua son pistolet et boum ! Il étendit l'aigle raide mort sur la neige. Puis il reprit sa place sur le siège du traîneau et continua son voyage vers le nord. Il y avait environ une heure que Mac-Nac avait tué l'aigle des montagnes lorsque le renne, tout à coup, s'arrêta. Mac-Nac fit claquer sa langue pour l'encourager à repartir, mais le renne ne bougea point. IL tremblait de tous ses membres. Il tourna la tête vers Mac-Nac comme pour le prévenir d'un danger. Alors, Mac-Nac regarda autour de lui et il vit un gros ours blanc qui arrivait au grand trot. Mac-Nac fit rouler sa marmite sur la neige et se glissa à l'intérieur. L'ours, affamé, faisait, par avance, claquer ses mâchoires. Le renne eut si grand peur qu'il prit son élan pour se sauver. Mais Mac-Nac se mit à chanter La ri ri pan pan Pan pou ... Le renne, rassuré par la voix de son maître, ne bougea plus. L'ours se disait Je mangerai ce renne tout à l'heure, tranquillement. Mais, auparavant, il faut que je me débarrasse du conducteur ; il doit être caché par ici, quelque part, puisque je l'entends chanter d'une voix de roitelet. » L'ours chercha le conducteur du traîneau pour le manger tout de suite. Il ne vit rien, que cette chose ronde sur la neige... Il s'en approcha et flaira. Tiens ! Tiens ! Je sens de la viande fraîche ...Est-ce qu'il n'y aurait point, là- dedans, quelque petit bout de Lapon ? » Il mit son oeil droit à l'ouverture de la marmite. Mac-Nac n'attendait que cela ! Il braqua son pistolet et boum ! Il étendit l'ours, raide mort, sur la neige. Puis il remonta sur le traîneau, consulta sa boussole, fit claquer sa langue par deux fois et continua son voyage, droit vers le nord. Bientôt, le renne s'arrêta de nouveau. Cette fois, c'était une bande de loups qui barrait la route. Le plus gros et le plus affamé des loups prit les devants pour manger le renne et son conducteur. Mais Mac-Nac, réfugié dans sa marmite, tua le loup d'un coup de pistolet dans l'oeil, comme il avait tué l'ours et l'aigle des montagnes. Par malheur, le coup de pistolet n'effraya pas les autres loups. Sentant la chair fraîche, il s'approchèrent à leur tour et firent cercle autour de la marmite. Mac-Nac, pour rassurer le renne, chantait, le plus tranquillement du monde La ri ri pan pou Pan pou Mais, au fond, il était un peu inquiet, car il n'avait plus beaucoup de cartouches. Je tuerai bien encore deux ou trois loups avec mon pistolet, se disait-il, mais les autres ? Comment faire pour m'en débarrasser ? » Les loups étaient assis en cercle. Leurs queues touffues, allongées sur la neige, faisaient autour de la marmite comme les rayons d'une roue. Qoudain, la marmite se mit en mouvement ! Toujours chantant, Man-Nac culbutait à l'intérieur de la marmite ; et c'était ce qui la faisait remuer ainsi. Elle roulait sur les queues des loups. Mais les loups ne bougeaient point. Ils se disaient Chante ! Culbute ! Fais tout ce que tu voudras ! Nous te mangerons quand même, pauvre petit bout de Lapon ! » Et ils se pourléchaient les babines à l'avance. Or, Mac-Nac faisait autre chose que chanter et culbuter. Chaque fois que la marmite passait sur la queue d'un loup, il versait quelques gouttes de pétrole... Les loups sentirent l'odeur du pétrole. Ils froncèrent le museau ; quelques uns éternuèrent... Mais aucun ne bougea. Tu finiras bien par montrer ton nez, méchant petit bout de Lapon ! » Quand toutes les queues des loups furent mouillées de pétrole, Mac-Nac fit craquer une allumette... Frtt !... Une queue flamba..., puis une autre..., puis toutes à la fois ! Il fallait voir les loups se sauver en hurlant, avec cette torche derrière eux ! Jamais on n'avait vu de loups se sauver aussi vite ! Mac-Nac sauta hors de sa marmite. Il se bouchait le nez, à cause de l'odeur du poil roussi, et il riait à se tordre les côtes. Il remonta ensuite sur le traîneau, fit claquer sa langue par deux fois, et continua son voyage vers le nord. Mac-Nac ne tarda pas à arriver près du rivage de l'océan Glacial où son père et ses frères chassaient les phoques. Bientôt, il aperçut les tentes en peau de renne sous lesquelles les chasseurs se mettaient à l'abri. Les chasseurs, avec leurs fusils, leurs harpons et leurs lances, avaient tué deux ours et beaucoup de phoques. Ils chantaient fièrement Jamais un vrai Lapon Ne s'est montré poltron ! Les Lapons de chez nous N'ont jamais peur des loups ! Quand ils cessèrent de chanter, ils entendirent une petite voix de roitelet La ri ri pan pou ! Pan pou Ils s'écrièrent tous C'est Mac-Nac ! » Il s sortirent de leurs tentes. C'était, en effet, Mac-Nac qui arrivait. Bonjour, Mac-Nac ! Que viens-tu faire ici, pauvre petit rat ? Comment les loups ne t'ont-ils pas mangé en route ? - Les loups ! dit Mac-Nab j'ai tué le gros et brûlé la queue des petits. J'ai aussi tué un ours blanc et un aigle des montagnes. » Les chasseurs ne firent que rire de ces paroles. Mais, le lendemain, ils tuèrent un loup qui s'était aventuré près des tentes. Et ce loup avait la queue brûlée !... Les chasseurs furent bien obligés, alors, de croire ce que Mac-Nac avait dit. Ils revinrent avec lui au village de Rikévik. Ils trouvèrent, sur leur chemin, le cadavre du gros loup, celui de l'ours à belle fourrure et celui de l'aigle des montagnes. Alors, ils nommèrent Mac-Nac premier chasseur, à cause de son courage et de sa ruse. Et, en arrivant au village, au lieu de leur chanson rude, c'était le petit refrain de Mac-Nac qu'ils chantaient, tout simplement La ri ri pan pou Pan pou la ri rette ! La ri ri pan pou Pan pan la ri ra !
supermd85a écrit: PanPan Pan! Je ne suis pas chasseur mais je lui mettrai bien une cartouche! pan pan j'aime bien les chansons de merdeeeeeee
Jongleur de mots et de chiffres , auteur d ' acrostiches , petites annonces humoristiques , pensées , poèmes voir page poète sur site les auteurs du Maine Retrouver mon acrostiche VERMOT ... [+] Un cavalier surgit hors du saloon Court vers l'aventure au galop Son nom, il le signe au canon de son colt Du double qui veut dire Lucky Luke Lucky, Lucky Luke Cowboy rusé qui fait la loi Lucky, Lucky Luke Qui tire plus vite que son ombre Lucky, Lucky Luke Vainqueur, tu l'es à chaque fois Lucky, Lucky Luke Combat sans peur les Dalton. Tagada, tagada, voilà les Dalton Tagada, tagada, voilà les Dalton C'étaient les Dalton Tagada, tagada et y a plus personne Au bal masqué, ohé, ohé On vole, on vole les banques On ne peut plus s'arrêter Ohé, ohé, au bal masqué... » Chante à tue-tête, Averell Dalton, fils de Ma Dalton, chef d'entreprise import export spécialisée en haut vols de tout genre, boulets de fer sa devise mes fistons, de véritables Méphistos faut se les faire ces boulets » et de pierres de taille son fils adoptif, Pierre, se taille souvent en faisant le mur et à chaque fois on le chope, hein, Frédéric » ce roi de la fugue. Averell comme ses frères, exerce la profession, en intérimaire, de tailleur de cailloux dans les pénitenciers de l'Ouest. Brillants sculpteurs, comme leur lointain cousin, Obélix, architecte de l'obélisque appelée autrefois colonne Obélix de la Concorde à Lutèce, les Moaïs de l'île de Pâques et des cinq colonnes Morris à la une de la bande dessinée, il sculpte en chantant J'ai deux amours Lutèce et ma Bretagne Qui ensorcellent mon cœur Pour elles je me bats contre les romains. Dans Lutèce à pied on dépasse les chars à bœufs Avec la potion à Lutèce on dépasse les chariots de foins... » Et quand les légions romaines apparaissent, son chien Idéfix entonne Tiens voilà du sanglier, voilà du sanglier, voilà du sanglierPour les Celtes, les Bretons, les Gaulois Pour les Romains ils n'y a plus Ce sont des soldat peureux Nous sommes des dégourdis Nous sommes des sacrés lascars Nous avons le cafard Si le ciel nous tombe sur la tête » Laissons nos sangliers bretons en paix et revenons à nos bisons américains que Buffalo Bill massacrait en chantant Big bison Approchez, approchez On va jouer au big bison Pour chasseur s'appelle Buffalo Pour belles prises Ralliez-vous au big bison Attention, visez bien big bison... » Pendant ce temps, Lucky Luke chassait d'autres animaux plus bêtes que méchants les Dalton bisons espèce nuisible pour le blé des banques. Jolly Jumper, son cheval mélomane, réplique à Averell, quand celui ci astique son canon je parle de son colt après avoir sifflé quelques canons Les portes du pénitencier Bientôt vont se refermer Et c'est là que les frères Dalton Finiront leur vie Comme d'autres gars l'ont finie Pour eux Ma Dalton a donné Ouais, révolvers papier La liberté n'est pas faite pour eux C'est en volant qu'ils peuvent tricher Peuvent-ils jamais s'arrêter Ouais, sans cesse je les arrête... » Jolly rêve de chanter avec Idéfix à l'Olympucky de Lutèce sous la direction du druide Panococratix. Mais Luke imprésario infortuné ne put le mettre en selle pour ce fabuleux concert n'ayant jamais gagné d'argent en mettant à l'ombre nos fameux Dalton, que dalle, tondu à ras le pauvre. Pendant ce temps Rantanplan déguste sa part du gâteau Far West breton avec l'os en gelée, d'un fameux tournedos, venu tout droit d'un célèbre village californien, offert par Tornado, le cheval de Zorro, du casino de Las Vegas, qui, lui, jamais tourne dos. Rappelons, au passage, qu'au sein de la Silicon Valley, Lucky se fournit en cartouches - pour les cigarettes chez P. Morris, - Pour son colt il fait, capitaine, un crochet, chez Peter Pan, pan, pan, pan » est la devise de l'entreprise d'armes, - Pour l'encre des bandes dessinées, droguerie le Poulpe sépia toutes couleurs. Comme son héros préféré sa devise adorée Si en bandes dessinées, Géro nie mot, si, Ting, bulles dessinent », le dessinateur Morris dégaine son crayon plus vite que son ombre.
OXYMOREby Jonas, released 30 October 2015 1. Le Large 2. Génération 3. Petit Carré 4. Rose des Sables 5. On (feat. Olga de GypsySoundSystem) 6. Patchwork 7. La Chance 8. Tobrouk 9. La Baleine (feat. Yael Miller) 10. Comportement à Risque (feat. Gaël Faye, Rox & Edgar Sekloka) 11. Le Couteau 12. Sur les Toits 13. OxymoreBest matches Lyrics pourquoi à chaque fois ça fait mouche Je ne suis pas chasseur mais je lui mettrais bien une cartouche Pan, pan, pan je lui mettrais bien une cartouche pourquoi à chaque fois ça fait mouche Je ne suis pas chasseur mais je lui mettrais bien une cartouche Pan, pan, pan je lui mettrais bien une cartouche Baby, j'suis dans toutes les bouches Il m'reste qu'une seule cartouche J'expire, tu sais que je suis la souche N'en rajoute pas une couche Yeah, Elle pense à moi quand elle est sous la douche Aucune pudeur elle prend tout dans la bouche Pas de disquettes je lui mets la cartouche C'est moi qui S/o le Flem Hey weh, OBS Afro S, Wagwan Wagwan, Gang shit, Hey Cartouche 8 grrrr Squaa Dans le bat' avec le Black bre-som Demande pas ce Eh sku, sku Han, ekip han, ekip, eh eh J'suis d'vant la cage, j'mets des cartouches sku, des cartouches Envoie la p'tite blanche prendre moment j'me fais crosser Fuck ton collier d'immunité, 31 cartouches c'est même pas l'réveillon Ça fait neuf ans qu'la drogue c'est mon plan sous Trois appelle-moi pixelboy Tout est carré, appelle-moi pixelboy Tout est carré, appelle-moi pixelboy Sors les cartouches pour pixelboy Sors les cartouches pour mec armé, mais t'as même pas de cartouches Gucci sur la 'coche, Gucci sur la squette-ca Gucci sur la tre-mon, Gucci, Gucci On vend te-shi te-shi, Parce que là y'a trop de secousses Trop de fake Negga Ils sont à mes trousses Negga j'suis comme sonneper Dans leurs têtes je vide les cartouches Seule dans leur bouche Se déroulent autrement A chacun ses cartouches Je sais ce que je fais Quand je parle de moi Je cherche à me trouver Mais je ne m'égare elle m'attend Et prend des poses en souriant Oh mon Bébé Polaroid Oh mon Bébé Polaroid Elle brule ses cartouches à 16 ans Bébé Polaroid Lorsque je lui bat les couilles ce soir c'est soirée khabat La couz elle a louché sur la bouteille de Belvé' Il s'est fait cartouché l'autre il s'est fait levé La Les putas, le showbiz, le champagne, la folie Ici-bas, ça va trop vite, avant la muerte on profite J'ai le .44 dans les cartouches, bang bang bye bye saison, j'existe dans l'oeil du cyclone J'suis pas venu seul à la fête, donc plusieurs cartouches T'inquiètes j'assure la beu-flam, les courses et les images poétiques Ne laisse pas la moto sur la béquille Ne laisse pas l'escargot dans la coquille Ne laisse pas la cartouche dans le canon Enlève le Cartouche If I share this with you never speak a word They would never understand if they ever heard Gemini, Capricorn, rising in the east Dancing cartouches comme glock Négro ça step up j'arrive c'est la stupeur Défenseur dur sur l'homme comme Thybulle Que des flows insipides Des Mc stupides qui signent touche minouche Je suis pas là pour me faire cartouche Pas touche minouche Pourquoi t'ouvres ta bouche Pas touche minouche Tu te finiras sous la douche dans la chapelle J'entends des voix satan m'appelle Décoche des cartouches on les enterre à la pelle T'as oublié qui je suis, voilà une piqûre de rappel Elle a saisi mon regard elle a des yeux cartouches J'ai perdu ma voix À crier ton nom Crier ton nom Et si tu n'existais pas Jamais je ne trouverais Wi-wi, wi-wi, wi-wi Wi-wi, wi-wi, wi-wi ah bah ouais Bersa Et quand tu perds tout Y a qu'la famille, quelques amis, c'est tes cartouches Et t'épouses le postier j'le cartouche Et les soucis partent au chaud, si t'épouses le postier j'le cartouche Si t'épouses le postier j'le cartouche... Si golden rings Dancing through the starlight we began to sing Ahh, still I hear the whisper "Cartouche" Caramel colored leaves spiral in the air Diving We need you! Help build the largest human-edited lyrics collection on the web!
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