đŸŒ©ïž S Accepter Tel Que L On Est

Saccepter tel que l'on est Les autres pouvaient courir, danser, porter de jolies jupes. Et, en voyant quelqu’un qui leur plaisait, s’élancer pour lui sauter au cou.

French Synonyms Dictionary accepter 1 souscrire, accĂ©der, supporter, tolĂ©rer, consentir, acquiescer, adhĂ©rer, admettre, agrĂ©er, avaler, concĂ©der, approuver, ratifier, vouloir, dĂ©fĂ©rer, endosser [antonyme] se soustraire, dĂ©cliner, rĂ©prouver, dĂ©rober, rĂ©cuser, repousser s'accepter emploi pronominal 2 tolĂ©rer, supporter, assumer, admettre [antonyme] repousser, dĂ©charger accepter condamnation v admettre d'ĂȘtre condamnĂ© accepter dans son cadre v admettre en son sein accepter l'augure v espĂ©rer dans le succĂšs annoncĂ© d'une entreprise accepter v se soumettre Ă  une dĂ©cision accepter tel que l'on est v assumer accepter une prolongation de temps v accorder un dĂ©lai accepter un principe comme vĂ©ritĂ© fondamentale v admettre comme un dogme ĂȘtre difficile Ă  accepter forme du verbe ĂȘtre rester sur le cƓur, rester sur l'estomac French Synonyms Dictionary accepter 1 consentir, supporter, agrĂ©er s'accepter emploi pronominal 2 s'assumer, se tolĂ©rer comme French Definition Dictionary Collaborative Dictionary French Synonyms soustrayable adj. que l'on peut soustraire passage obligĂ© nm. Ă©tape que l'on ne peut Ă©viter [Fig.] imprivatisable adj. que l'on ne peut pas privatiser créé par Christian Estrosi en parlant de la Poste transgressible adj. que l'on peut transgresser, enfreindre Sur le modĂšle d'intransgressible, intransgressable. ! sieste nf n. repos que l'on prend aprĂšs le dĂ©jeuner chasse gardĂ©e n. domaine, terrain que l'on se rĂ©serve figurĂ© ex la politique Ă©trangĂšre est la chasse gardĂ©e du chef de l'Ă©tat ! genera non percunt n. lorsqu'on est dĂ©biteur d'une chose de genre, on ne peut s'abriter, pour se soustraire Ă  l'exĂ©cution, derriĂšre le fait que les objets que l'on voulait livrer ont pĂ©ri ; on peut toujours se procurer des biens Ă©quivalents pour satisfaire Ă  son obligation. [Leg.] peser ses mots v. faire attention Ă  ce que l'on dit, ne pas exagĂ©rer, dire des choses dont on est sĂ»r c'est vraiment un spectacle incroyable, et je pĂšse mes mots! bienvenue au club ! exp. se dit pour indiquer Ă  son interlocuteur que l'on est dĂ©jĂ  plusieurs dans la mĂȘme situation [familier] Ex. "- J'en ai marre du mauvais temps ! - Bienvenue au club !". mieux vaut tenir que courir exp. il vaut mieux se satisfaire de ce que l'on a rĂ©ellement, mĂȘme si c'est moins que ce que l'on peut espĂ©rer, mais que l'on n'est pas sĂ»r d'obtenir voir aussi "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras" parce que je le vaux bien exp. s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mĂ©rite lĂ©gitimement ce que l'on a, ce que l'on dĂ©sire [Hum.] * allusion au slogan publicitaire de l'OrĂ©al * s'emploie Ă©galement Ă  propos d'autres personnes et de façon ironique ou non "si sa cote chute, c'est parce qu'il le vaut bien" On est parti sans moi exp. Fiquei para trĂĄs brique nf. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] on dit aussi "un tĂ©lĂ©phone briquĂ©" podcast nm. fichier audio ou vidĂ©o que l'on peut tĂ©lĂ©charger [Inform.] le terme officiellement recommandĂ© est "balado" ! honneur nm n. sentiment que l'on a de sa propre dignitĂ© sauver son honneur; c'est tout Ă  ton honneur tĂ©lĂ©phone briquĂ© nm. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] passer la vitesse supĂ©rieure vi. aller plus vite dans ce que l'on entreprend [Fam.];[Fig.] voir aussi "appuyer sur la pĂ©dale le champignon" l'herbe est toujours plus verte ailleurs exp. on s'imagine toujours que c'est mieux ailleurs que lĂ  oĂč l'on est mĂȘme pas + nom ou adjectif adv. s'emploie pour laisser penser que l'on n'a pas..., que l'on n'est pas... [Hum.] exemple "dĂ©mĂ©nager ton piano ? mĂȘme pas peur !" ressenti nm. la chose que l'on ressent ; ce que l'on Ă©prouve ; le sentiment voir Naples et mourir exp. s'emploie Ă  propos de quelque chose que l'on dĂ©sire ardemment et que l'on considĂšre comme le summum de la perfection Expressio To add entries to your own vocabulary, become a member of Reverso community or login if you are already a member. It's easy and only takes a few seconds Saccepter tel que l’on est, sans crĂ©er ce que l’on aimerait ĂȘtre, est la chose la plus difficile quand l'esprit est illusionnĂ© par la peur de ne pas existe
our aimer les autres, il convient de les accepter tels qu’ils sont, avec leurs blessures, leurs diffĂ©rences, leurs faiblesses. Mais pour pouvoir aimer vĂ©ritablement, il faut d’abord s’aimer soi-mĂȘme et ne plus ĂȘtre dĂ©pendant du besoin d’ĂȘtre aimĂ©. Et pour s’aimer soi-mĂȘme, il est nĂ©cessaire de s’accepter tel que l’on est, avec ses qualitĂ©s et ses dĂ©fauts. j’ai compris que, manquant d’amour pour moi, je cherchais Ă  me faire aimer par les autres, y compris par ma femme ValĂ©rie. RĂ©conciliĂ© avec moi-mĂȘme, ayant trouvĂ© l’amour Ă  l’intĂ©rieur de moi, je pouvais commencer Ă  vĂ©ritablement aimer l’autre. Et vous, acceptez-vous les autres tels qu’ils sont ? Belle journĂ©e, Ludovic
Dansla sociĂ©tĂ© du bien paraĂźtre dans laquelle nous vivons, il y a une pression sociale Ă  montrer une apparence extĂ©rieure sans failles. On ne prend pas toujours le temps de s'accepter tel que nous sommes. Pour "cacher" cette apparence, on a recours Ă  plusieurs stratĂ©gies : crĂšme, botox, conseils de diffĂ©rents spĂ©cialistes. Mon nom est MichaĂ«l Higgburger et je vis ici Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a depuis 16 ans. Avant cela, j’habitais aux Etats-Unis et je m’apprĂȘtais Ă  prononcer des vƓux monastiques dans un ordre bĂ©nĂ©dictin lorsque, juste avant de m’engager dĂ©finitivement, j’ai eu l’opportunitĂ© incroyable de pouvoir voyager pendant deux mois. Je suis venu en Inde en sachant, qu’aprĂšs ce voyage, je ferais vƓux de stabilitĂ©, intĂ©grerais la clĂŽture, et donc, ne pourrais plus sortir de mon ordre bĂ©nĂ©dictin. C’était en 2000. Pendant ma formation bĂ©nĂ©dictine, j’avais lu tous les livres d’Henri le Saux, Svāmi Abhishiktānanda. J’avais entendu parler d’Aruáč‡Ächala montagne sacrĂ©e Ă  Tiruvannamalai dans le Tamil-Nadu, est considĂ©rĂ©e par les fidĂšles comme la manifestation de Úiva et je m’étais dit que, si j’en avais un jour l’opportunitĂ©, c’est lĂ  que j’irais. Lors de la premiĂšre nuit que j’ai passĂ©e ici, j’ai senti quelque chose de trĂšs trĂšs fort qui m’a pris aux tripes ». J’ai perçu l’intensitĂ© de la mĂ©ditation des gens qui Ă©taient autour de moi et j’ai aussitĂŽt pensĂ© qu’il m’allait ĂȘtre trĂšs difficile de repartir aprĂšs les deux mois qui m’étaient accordĂ©s. Dans le monastĂšre c’était trĂšs confortable. J’étais trĂšs bien entourĂ©. Mais, Ă  l’extĂ©rieur du monastĂšre, la vie amĂ©ricaine ne soutenait pas la recherche spirituelle. Avec le recul, je me rends compte que j’étais sans cesse obligĂ© de justifier mon choix de ne pas vouloir entrer dans les valeurs amĂ©ricaines de notre Ă©poque consommer beaucoup, avoir des enfants, devenir trĂšs riche
 Je ne voulais pas de cela. Et mon dĂ©sir de vivre une vie monastique venait en partie de ce refus. MĂȘme, Ă  l’intĂ©rieur de l’Eglise, je devais toujours justifier mon appel Ă  la contemplation parce que, cette partie contemplative et mystique, mĂȘme dans l’Eglise, reste Ă  la lisiĂšre et n’est pas vraiment admise. Ici, c’est incroyable ! Partout, mĂȘme dans les rickshaws, il y a des priĂšres. Tout le monde soutient cette ferveur et vit cette foi. Aussi, quand j’ai mis le pied en Inde, ai-je tout de suite compris que toute cette lutte intĂ©rieure Ă©tait rĂ©solue parce que j’étais arrivĂ© dans un lieu qui soutenait la vie contemplative que je dĂ©sirais et que, mĂȘme dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin d’oĂč je venais, ordre pourtant contemplatif, j’avais du mal Ă  vivre. A la fin de ces deux mois je n’ai pas pu repartir. Mon billet d’avion Ă©tait perdu. J’ai tĂ©lĂ©phonĂ© au monastĂšre qui m’a accordĂ© une extension de quatre mois. Et j’ai achetĂ© un deuxiĂšme billet de retour. Vint le moment de partir. La voix de MichaĂ«l se voile. J’avais mis tout ce que j’avais dans une malle pour les expĂ©dier au monastĂšre et n’avais gardĂ©, pour la derniĂšre nuit, qu’un petit sac pour y mettre mes derniĂšres affaires. Mais, physiquement, je ne pus rien mettre dans le sac. Quelque chose m’en empĂȘchait. C’était la premiĂšre fois de ma vie que cela m’arrivait. Je suis allĂ© Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a. J’y ai rencontrĂ© une femme Ă  laquelle j’expliquai que je devais partir le lendemain aux États-Unis mais que je n’arrivais pas Ă  faire mon sac. Elle m’a dit Rentre dans ta chambre, va dormir, et demain tu sauras ». Le lendemain je n’ai pas pu prendre le taxi. Ce fut trĂšs difficile. Mon sĂ©jour ici avait durĂ© six mois et, pendant les deux derniers mois j’ai vĂ©cu une intense lutte intĂ©rieure. D’une part, j’avais un engagement de vie monastique dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin, un milieu chrĂ©tien, et, d’autre part, en rĂ©sidant ici, dans l’ashram, dans un milieu hindou, j’avais une grande ouverture. Ce fut, en moi, une lutte vraiment trĂšs intense et ce jour oĂč je n’ai pas pu prendre le taxi fut trĂšs dur Ă  gĂ©rer. J’ai cru que je devenais fou ! Ensuite ce ne fut pas facile non plus. Si, aujourd’hui, j’ai un lien trĂšs fort avec ma communautĂ© bĂ©nĂ©dictine qui m’a beaucoup soutenu – j’y suis retournĂ© derniĂšrement – au dĂ©but, j’avais coupĂ© tout lien avec elle. Je ne faisais plus partie de cet ordre. Quand je considĂšre ma vie dans les faits, ma vocation contemplative catholique est devenue une vie d’ashram hindou en Inde. Mais ce n’est pas une transformation, c’est plutĂŽt un dialogue. Un dialogue entre le monde chrĂ©tien occidental et le monde hindou indien. Et je me sens toujours catholique. Q ? A quel ordre Ă©tiez-vous rattachĂ© ? A l’ordre des Camaldules, qui est une branche rĂ©formĂ©e des bĂ©nĂ©dictins. Q ? Comme le PĂšre John Martin ? Oui, l’ashram de Shantivanam est rattachĂ© Ă  cet ordre depuis 1984. John Martin est aussi Camaldule. Si, au bout de 16 ans, je fais le bilan de cette lutte intĂ©rieure entre l’éducation reçue et mes choix de vie, un peu comme Henri le Saux qui, lui aussi, est passĂ© par ces grandes luttes, je touche peut-ĂȘtre la question de ce siĂšcle. Il est possible que l’Eglise ait perdu le feu mystique et que l’on cherche Ă  le raviver. C’est ce qu’a fait Henri le Saux en venant ici. Il a ravivĂ© le feu mystique de l’Eglise, peut-ĂȘtre pour le ramener au cƓur de l’Eglise mais aussi pour aider d’autres chercheurs qui sentaient Ă©galement ce feu perdu. Je ne peux pas blĂąmer l’Eglise parce que nous sommes tous l’Eglise mais nous assistons peut-ĂȘtre Ă  la mort de notre civilisation. C’est sans doute effrayant, mais, en mĂȘme temps, quelque chose d’extrĂȘmement prometteur surgit. J’en suis tĂ©moin chaque jour en rencontrant tous les chercheurs qui viennent ici. C’est, probablement, ce que nous cherchons tous ici. La foi de nos parents, de nos grands-parents, consistait Ă  demander Ă  JĂ©sus son aide, son assistance. C’est la foi du credo que l’on proclame tous les dimanches Ă  la messe. On pourrait dire, ici en Inde, que c’est la voie de l’abandon. On s’abandonne Ă  cette volontĂ© divine, on demande de l’aide pour ĂȘtre guidĂ© dans notre quotidien. Mais je ne pense pas que la prochaine gĂ©nĂ©ration soit appelĂ©e Ă  la mĂȘme foi. Ce n’est plus la mĂȘme chose. Ce qui se dessine n’est pas trĂšs clair mais, il est sĂ»r que nous passons Ă  autre chose car notre foi ne peut plus ĂȘtre la mĂȘme aujourd’hui. Nous sommes de plus en plus ouverts sur le monde. Nous recevons aujourd’hui toute l’information disponible sur les autres traditions, sur les dĂ©couvertes scientifiques
 La foi post-Vatican II n’a plus rien Ă  voir, de prĂšs ou de loin, avec ce qui se passait il y a 150 ans en arriĂšre. De la foi proclamĂ©e Ă  la recherche d’expĂ©rience directe D’une relation au credo oĂč nous affirmions notre foi d’une maniĂšre formelle et structurĂ©e, nous passons maintenant Ă  une recherche d’expĂ©rience directe. Je ne sais pas trĂšs bien ce qui se dessine mais il y a un changement. A l’intĂ©rieur mĂȘme des ordres contemplatifs oĂč l’accent est mis sur la rĂ©citation du credo et oĂč on doit faire sienne cette foi qui se proclame, il semble maintenant que proclamer une foi qui n’est pas expĂ©rimentĂ©e ne satisfasse plus complĂštement. Jusqu’à prĂ©sent, les ordres contemplatifs se rĂ©fĂ©raient Ă  l’évangile dans lequel apparaissent Marthe et Marie. L’exemple de Marie, qui choisit la contemplation, permettait de justifier un mode de vie tout Ă  fait valide la vie contemplative. Mais, aujourd’hui, dans notre vie, il y a certainement un peu de Marthe et de Marie et cela est nouveau. Cependant les laĂŻcs ne sont pas guidĂ©s dans une voie intĂ©rieure, une voie contemplative. Dans la tradition monastique japonaise il existe deux voies la voie Jiriki, voie contemplative dans laquelle on cherche l’expĂ©rience en soi-mĂȘme et la voie Tiriki dans laquelle on demande au Bouddha de prendre en charge sa vie. Les pratiquants rĂ©citent alors tous les noms du Bouddha. Dans notre tradition occidentale, il existe aussi une partie faite de rĂ©citations, de sacrements, du credo, et une partie qui, jusqu’à prĂ©sent rĂ©servĂ©e aux contemplatifs, consistait en recherche intĂ©rieure, en priĂšres intĂ©rieures. Il semble maintenant que, pour plusieurs raisons, ces deux aspects se rencontrent et que nous assistons Ă  l’émergence d’un nouveau paradigme. La vie de foi que nous expĂ©rimentons aujourd’hui est bien diffĂ©rente de celle des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes. Je ne vais pas rentrer dans toutes les raisons de ce changement mais l’une d’elles me semble particuliĂšrement importante. Peut-ĂȘtre mĂȘme est-ce la principale. Le sol sur lequel la foi reposait est devenue mouvant et instable. Nous ne vivons plus dans le monde ancien. Nous vivons un temps nouveau dans lequel apparaissent des personnes en recherche spirituelle et qui, d’une façon trĂšs diffĂ©rente de celle d’avant, se mettent en quĂȘte intĂ©rieure du bonheur. Moi-mĂȘme me suis posĂ© longtemps la question de savoir pourquoi j’ai fait ce grand saut de l’Occident jusqu’en Inde. Ici, je vois passer des milliers de chercheurs qui viennent chaque annĂ©e et je constate que quelque chose Ă©merge. L’étĂ© dernier, je suis retournĂ© aux États-Unis aprĂšs une trĂšs longue absence. J’ai Ă©tĂ© extrĂȘmement Ă©tonnĂ© du sĂ©rieux de la recherche des personnes que j’ai rencontrĂ©es. C’était tout Ă  fait nouveau pour moi. Mais cette recherche ne se fait plus d’une maniĂšre traditionnelle. La blessure du cƓur On pourrait passer des jours Ă  essayer de rĂ©pondre Ă  cette grande question Qu’est-t-il en train d’arriver ? Que se passe-t-il ? NĂ©anmoins, je suis sĂ»r que ce qui se vit en Occident, que ce soit dans la culture amĂ©ricaine 3 ou europĂ©enne, ne peut pas s’appliquer Ă  ce qui est ressenti ou vĂ©cu ici dans la culture de l’Orient. En Occident il y a vĂ©ritablement un basculement dans notre mode de recherche, mais ce basculement ne s’applique pas ici. Ici rien n’a vraiment changĂ©. Dans le monde occidental ce basculement est dĂ» Ă  une sorte de blessure psychique collective qui conduit Ă  vouloir panser cette blessure et trouver des modes de guĂ©rison. Cela passe souvent par les psychothĂ©rapies. Et ces psychothĂ©rapies sont complĂ©mentaires Ă  cette recherche intĂ©rieure que je vois Ă©merger. Cette blessure, presque universelle en Occident, je l’appelle la blessure du cƓur ». C’est une blessure centrale, profonde qui pourrait ĂȘtre liĂ©e Ă  la perte de notre innocence. Et nous cherchons comment tenter de la rĂ©parer, comment tenter de la retrouver. Je vais dĂ©velopper. En 1982, un grand Ă©vĂ©nement eut lieu. Autour du DalaĂŻ-Lama, des moines de mon propre clergĂ© mais aussi des moines bouddhistes d’Occident se sont rĂ©unis pour rĂ©flĂ©chir Ă  cette blessure, Ă  ce qui se passait en Occident. Ils ont dĂ©couvert, qu’en Occident, les gens avaient une trĂšs mauvaise estime d’eux-mĂȘmes. Lors de ce grand rassemblement, quelque chose a Ă©mergĂ© qui a beaucoup Ă©tonnĂ© le DalaĂŻLama et les moines prĂ©sents. QuestionnĂ©s un par un, tous ceux qui venaient d’Occident, sans exception, portaient cette blessure, ce manque d’estime de soi. Ils ne savaient pas trop quoi en faire mais c’était apparu ainsi. Je pense que c’est probablement une blessure universelle. Cependant, ici, dans la culture d’Asie et en Inde, elle ne domine pas. Ici, en Inde, il est possible de vivre avec des personnes qui ne portent pas cette blessure. Cette blessure que nous, occidentaux, portons, provient de notre culture, de notre tradition religieuse et de notre hĂ©ritage. Cela met en lumiĂšre ce contraste entre Orient et Occident. Je me suis rendu compte que toute ma recherche intĂ©rieure Ă©tait fondĂ©e sur le dĂ©sir de m’amĂ©liorer, sur mon dĂ©veloppement personnel. C’est trĂšs courant en Occident et il existe des bibliothĂšques entiĂšres sur ce sujet qui expliquent comment devenir plus performant etc. C’est trĂšs juste et ça a tout son sens en Occident mais, du point de vue de Dieu, du point de vue de l’amour, c’est une Ă©norme violence que l’on se fait et c’est une mauvaise voie. C’est une belle idĂ©e en soi mais qui contient une erreur fondamentale. Dans les grandes traditions, tous les grands mystiques le disent le cƓur mĂȘme de notre personne, ce qui, en outre, est trĂšs vulnĂ©rable, c’est Dieu. Et on ne peut pas vouloir s’amĂ©liorer ou se rendre plus acceptable pour mĂ©riter l’amour de Dieu. C’est une terrible violence et c’est une impasse. On n’en a pas conscience. Si nous considĂ©rons nos motivations, les intentions qui sont derriĂšre nos actions, ce dĂ©sir de je veux m’amĂ©liorer », je veux ĂȘtre meilleur » ce que je dis n’est pas une critique, ce dĂ©sir devient le terreau de notre recherche. Or ce n’est pas le message divin. Ce n’est pas ce que nous sommes. Parce qu’à partir de lĂ , notre recherche se fonde sur il nous manque quelque chose » et nous pensons que nous ne sommes pas complets. MĂȘme chez les mystiques, il y a ce fond je ne suis pas digne de recevoir Dieu, je ne suis pas complet ». C’est le nƓud de l’affaire, c’est le piĂšge dans lequel on tombe. Il est difficile de dire d’oĂč cela vient. C’est probablement une surenchĂšre portĂ©e sur le pĂ©chĂ© originel, mĂȘme chez ceux qui ne sont pas croyants. Nous portons tous le poids de ce pĂ©chĂ© originel et de tout ce qui en dĂ©coule dans nos cellules mĂȘmes. Dans le canon pāli est une langue indo-europĂ©enne utilisĂ©e encore aujourd’hui comme langue liturgique dans le bouddhisme theravada, le bouddhisme originel ancien, il y a un terme qui est bhāvatāna. Tāna signifie la soif, dĂ©sir ardent. Dans la tradition du bouddhisme Theravada l’origine du problĂšme, notre sensation d’insuffisance, a Ă©tĂ© pointĂ©e. En Occident, nous avons un dĂ©sir ardent de devenir, d’ĂȘtre autre chose que ce nous sommes. Et si, dans notre quotidien, dans nos actes, dans tout ce que nous entreprenons, nous tentons de saisir la motivation, nous nous apercevons que, bien souvent, cette motivation de lire, d’aller sur Internet, de participer Ă  des stages, de faire des recherches etc
 puise son origine dans notre sensation d’ĂȘtre insuffisant. Nous ne sommes jamais assez » quelqu’un et nous voulons toujours devenir davantage. Nous pouvons donc tenter de repĂ©rer d’oĂč vient cette ardeur Ă  nous transformer, Ă  devenir quelqu’un d’autre
 Pourtant toutes les traditions spirituelles nous parlent de notre complĂ©tude originelle. HĂ©las, nous faisons comme si nous n’avions pas entendu. Toutes les traditions enseignent que nous ne devons pas devenir autre et tant que nous pensons que nous pouvons accroĂźtre ce que nous sommes en acquĂ©rant de l’expĂ©rience, en multipliant les connaissances, les expĂ©riences, en allant voir toujours plus de maĂźtres, en lisant plus de livres, nous sommes dans l’erreur. C’est exactement le contraire qu’il faut faire et toutes les voies contemplatives en parlent. Dans la tradition chrĂ©tienne il s’agit de la voie apophatique4 , la voie nĂ©gative. Il ne s’agit pas de passer de ce que vous ĂȘtes Ă  quelque chose d’autre, c’est tout le contraire revenir Ă  soi, enlever les couches de tout ce qu’on a accumulĂ© et dĂ©couvrir que le royaume c’est soi-mĂȘme, c’est vous-mĂȘme. Et ce vous-mĂȘme c’est votre innocence. Vous n’ĂȘtes pas le lutteur qui cherche Ă  devenir. Pour revenir au dĂ©but cette conversation oĂč nous nous demandions pourquoi le fait de simplement rĂ©citer le credo ne suffit plus et ne fonctionne plus, c’est parce que nous avons perdu cette connexion au Soi. C’est une perte collective. La mauvaise nouvelle, c’est que nous avons pu prendre une mauvaise voie mais, la bonne nouvelle, c’est que ce que nous cherchons, nous le sommes dĂ©jĂ . Nous le portons en nous. Bouddha disait que deux choses importantes Ă©taient requises pour une quĂȘte spirituelle d’abord commencer la quĂȘte, se mettre en chemin, puis continuer. Alors, quand nous nous apercevons que la direction suivie est mauvaise, il nous faut simplement tenter autre chose. Ce dont nous parlons en ce moment ne met nullement en avant la religion hindoue ou bouddhiste. C’est aussi ce qui se passe dans notre tradition chrĂ©tienne. L’évangile nous appelle Ă  l’amour et l’Amour ultime est bloquĂ© si nous ne sommes pas capables de nous aimer nous-mĂȘmes. JĂ©sus a vĂ©cu la mĂȘme chose sur la croix, les quatre membres immobilisĂ©s, clouĂ©s. Sa crucifixion symbolise l’échec de nos possibilitĂ©s humaines, de notre mental qui possĂšde savoirs et connaissances qui ne nous servent Ă  rien. Le PĂšre semble avoir disparu. Mais quand JĂ©sus clame Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnĂ© », le miracle se produit. C’est une rĂ©volution qui s’opĂšre Ă  ce moment-lĂ . C’est l’apparition d’un nouveau paradigme. LĂ , sur la croix, cet homme qui n’a plus rien ne supplie pas son pĂšre de le sauver. Il va dire pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». A cet instant, la transformation est totale. JĂ©sus est lĂ , au cƓur de sa vulnĂ©rabilitĂ©, au cƓur de sa brisure, de sa blessure. Nous pouvons comprendre que le plus grand obstacle qui nous empĂȘche de trouver Dieu, c’est de vouloir cacher cette blessure au monde, de se la cacher Ă  soi-mĂȘme. Mais sachons que c’est au cƓur-mĂȘme de cette blessure, de cette brisure, que nous trouvons Dieu. Cette scĂšne de la croix est une rĂ©volution. Le Dieu qu’on invoquait chez des HĂ©breux en accomplissant des sacrifices n’a plus lieu d’ĂȘtre. DĂ©sormais cela passe par le cƓur brisĂ© car c’est le cƓur brisĂ©, blessĂ©, qui est la source de l’amour. Mais il faut qu’il y ait cette ouverture, cette reconnaissance de la blessure. Or, souvent, nous protĂ©geons notre blessure, nous l’enfermons entre des murs, en vain. Ces tentatives deviennent des obstacles. Nous pensons que ces murs nous protĂšgent de la souffrance. En rĂ©alitĂ©, ils nous Ă©loignent de l’amour, ils nous sĂ©parent de l’Amour que nous sommes et qui est Dieu. Avant sa crucifixion, pendant sa nuit d’agonie, JĂ©sus lutte et prie pour ne pas passer par l’épreuve mais, finalement, il accepte Que volontĂ© ta volontĂ© soit faite ». Alors, lorsqu’il est sur la croix, l’amour jaillit. Au lieu de blĂąmer, de maudire, ce qu’il aurait trĂšs bien pu faire, c’est l’amour qui jaillit. Il devient Amour. Dans la tradition juive de l’époque de JĂ©sus, il n’y avait aucune notion d’incarnation, aucune pensĂ©e que Dieu puisse s’incarner sous une forme humaine. Aussi sommes-nous ici au cƓur du nouveau paradigme chrĂ©tien, JĂ©sus ne dit pas adorezmoi » mais suivez-moi ». Mais nous n’avons pas entendu et sommes restĂ©s dans cet ancien fonctionnement d’adoration. Nous mettons JĂ©sus trĂšs haut sur la croix, inatteignable. Nous nous reprĂ©sentons trĂšs en deçà, pauvres pĂȘcheurs » et, faisant cela, il nous est impossible de le suivre et, continuellement, nous trahissons la demande du Christ, son commandement qui ne dit pas adorez-moi » mais suivez-moi ». C’est peut-ĂȘtre ce qui aujourd’hui, 2000 ans plus tard, commence Ă  se rĂ©veiller. C’est peutĂȘtre ce que nous devons faire, le suivre, c’est-Ă -dire, dĂ©couvrir que Dieu rĂ©side en nous-mĂȘmes et que la source de l’amour est lĂ . Q ? Comment, en Occident, pouvons-nous retrouver cette estime de nous-mĂȘmes ? Comment revenir recontacter, réécouter, le rien » pour retrouver notre Ăąme ? Nous arrivons lĂ  au point central de notre discussion. Comment faire lorsque nous avons conscience qu’il y a un problĂšme et comment faire de maniĂšre pragmatique ? La rĂ©ponse est simple il faut retourner au lieu de la brisure. Dans toutes les histoires, les contes pour enfants, les contes de fĂ©es de toutes les traditions, on retrouve cette notion. Le hĂ©ros doit aller au fond d’un puits, d’un lac
 Il doit aller dans ce lieu effrayant, s’y retrouver seul, et rencontrer le dragon. Ensuite il va pouvoir sauver la princesse. La princesse symbolise le Soi. Nous devons rencontrer et faire face aux dragons, Ă  nos dĂ©mons. Dans la vie contemplative nous connaissons bien cela. Ceux qui sont habituĂ©s Ă  une longue pratique de la contemplation, en silence avec soi-mĂȘme, ils rencontrent inĂ©vitablement les dragons, les dĂ©mons. Il est certain que ces pratiques conduisent Ă  ces rencontres, mais ce n’est pas grave. Si nous sommes capables de rester, de tenir, nous allons nous apercevoir que ces dĂ©mons ne sont que du vent. Par contre, si nous faisons tout pour Ă©viter d’aller dans ce lieu et Ă©viter les dĂ©mons, ils vont devenir monstrueux. La rĂ©ponse est donc celle-ci retournez Ă  l’endroit de la brisure. Q ? Quand nous Ă©tudions la tradition occidentale, on nous dit que Dieu est au-dessus de nous ou Ă  l’extĂ©rieur de nous. Il est assez facile d’adorer un dieu extĂ©rieur parce qu’on le prie, on l’adore, on lui demande pardon, on lui rend compte de ce qu’on a fait
 Mais trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de soi et se responsabiliser comme le font les traditions orientales est une autre paire de manches. D’autre part, nous pouvons constater un grand regain des Ă©glises Ă©vangĂ©listes qui ont beaucoup de succĂšs et, en mĂȘme temps, beaucoup de personnes mĂ©ditent. Alors qu’est-ce qui prĂ©domine ? De quel cĂŽtĂ© penche la balance ? Y-a-t-il un mouvement plus important qu’un autre ? Enfin, comment trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de nous ? Je ne dis pas que nous devons choisir. Nous sommes appelĂ©s dans l’une ou l’autre des voies. Celle de l’adoration extĂ©rieure ou celle d’une quĂȘte intĂ©rieure. Ce qui est certain, c’est que, dans toutes les traditions et toutes les cultures du monde, cette recherche intĂ©rieure de Dieu, est fondamentale. Ce n’est pas une question de mode ça a toujours Ă©tĂ© lĂ . En Californie il y a un nombre incroyable de mouvements de mĂ©ditation. Dans chaque quartier des cours sont donnĂ©s aux enfants pour leur apprendre Ă  mĂ©diter. Bien sĂ»r, il ne s’agit pas d’arrĂȘter tout ce que l’on fait pour se mettre Ă  mĂ©diter, mais cette quĂȘte intĂ©rieure, cette pratique de l’intĂ©rioritĂ©, est Ă  coup sĂ»r la garantie que notre vie va changer dans le prĂ©sent d’abord mais aussi dans le futur pour de multiples raisons. Je pense que la principale raison de cette recherche intĂ©rieure est la souffrance. Bien sĂ»r, il y a toujours eu de la souffrance, c’est la condition mĂȘme de toute vie mais, la souffrance dont nous faisons l’expĂ©rience Ă  notre Ă©poque, ne peut pas ĂȘtre guĂ©rie ou rĂ©solue par les anciens systĂšmes. Je ne parle pas des systĂšmes qui remontent Ă  la Tradition, mais de ceux de nos parents et grandsparents. L’innocence qui sous-tendait l’Eglise de jadis a disparu. Aujourd’hui, le point d’orgue de cette rĂ©volution de l’évangile, pour sortir de notre blessure, est de plonger au cƓur mĂȘme de la blessure. Les voies de la psychothĂ©rapie conduisent Ă  passer Ă  travers la blessure. Nous ne pouvons pas faire l’économie d’un passage Ă  travers nos souffrances et nos blessures. Il n’y a pas d’issue en dehors de cette traversĂ©e qui demande d’expĂ©rimenter notre souffrance, non de la fuir. La crucifixion de JĂ©sus en est un grand symbole. Car comment pourrait-on reprĂ©senter cette souffrance massive au niveau du corps, du mental, du psychisme, d’une autre façon que celle d’ĂȘtre clouĂ© sur la croix ? La seule issue c’est d’aller au cƓur mĂȘme de la blessure. La mauvaise nouvelle dans tout cela c’est que nous devons passer par la douleur. C’est une douleur bien rĂ©elle que nous rencontrons. La bonne nouvelle c’est la dĂ©livrance. Il y a un trĂšs beau passage dans l’évangile de Thomas, non reconnu dans le droit canon, qui rapporte ces paroles du Christ Si tu veux sortir et mettre dehors ce qui te ronge, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur, cela te sauvera et te rendra libre. Mais si tu ne le fais pas, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur te dĂ©truira ». Je vais reprendre un poĂšme, Ă©crit par David Whyte un Irlandais. Cela se passe au NĂ©pal dans les annĂ©es 1970. David Whyte a environ 25 ans. Il arrive dans un petit village isolĂ© qui s’appelle Braga. Il veut aller voir un temple proche mais trouve les portes fermĂ©es. Il attend le prĂȘtre qui a les clĂ©s. À l’entrĂ©e de ce temple il y a une reprĂ©sentation que l’on trouve trĂšs frĂ©quemment qui s’appelle Vajrapāni. C’est un dĂ©mon moitiĂ© homme-moitiĂ© femme. La moitiĂ© homme, Vajra, porte un couteau qui tranche les illusions de l’ego. La moitiĂ© femme, Pāni, est l’aspect fĂ©minin. David Whyte attend l’ouverture des portes en contemplant cette sculpture. Alors que prĂšs de la porte, Nous voyons la figure terrible, Les yeux fĂ©roces demandant Allez-vous passer? Cinq ou six autres personnes attendent. Le prĂȘtre arrive avec une lanterne. Et, quand il entre, il Ă©claire l’intĂ©rieur et dirige la lumiĂšre vers la voĂ»te de ce petit temple. Ce que le jeune homme voit alors est incroyable, indicible. Tout en haut, sont sculptĂ©s dans le bois, les visages des bodhisattvas, des Ă©veillĂ©s dans la tradition bouddhique. C’est magnifique ! ÉclairĂ© Ă  la lanterne parce qu’il fait trĂšs noir, l’ensemble est saisissant. David Whyte, se demande qui a pu sculpter avec tant d’amour ces visages qui incarnent le silence et l’amour. Il est certain que le sculpteur a contactĂ© quelque chose de grand et devait vivre lui-mĂȘme de ce silence. Suite Ă  cette expĂ©rience David Whyte Ă©crit MichaĂ«l cite et commente Ă  la fois le poĂšme. 
Si seulement nos propres visages permettaient Ă  l’invisible, le sculpteur, le crĂ©ateur, d’amener l’amour Ă  la surface
 Le sculpteur invisible, c’est le crĂ©ateur, c’est Dieu. 
Si nous savions, comme le sculpteur invisible, creuser le bois avec l’instrument qui tranche, le ciseau Ă  bois, jusqu’au cƓur du bois, et aller jusqu’au cƓur de la matiĂšre
 Ce sont tous les dĂ©fauts prĂ©sents dans le bois qui permettent, avec le ciseau, d’aller jusqu’au cƓur, de faire transpirer l’amour. Ce ne sont pas des erreurs, des failles dans le bois, c’est, au contraire, ce qui guide la main du sculpteur pour aller au cƓur. Si nous Ă©tions capables d’ĂȘtre, comme le sculpteur cĂ©leste guidĂ© par les dĂ©fauts du bois, guidĂ©s par les dĂ©fauts de notre chair, nous nous servirions aussi de nos dĂ©fauts et ne serions pas saisis par la peur
 LĂ  oĂč sont nos failles et nos dĂ©fauts, lĂ  aussi est la porte d’entrĂ©e pour aller au cƓur de nous-mĂȘmes. Tant que nous luttons,nos yeux sont blessĂ©s par le chagrin,et nos bouches sont assĂ©chĂ©es par la douleur. Si nous pouvions nous abandonner aux coups du ciseau du sculpteur invisible, les lignes de nos visages deviendraient des riviĂšres qui nourriraient la mer,lĂ  oĂč les voix se rencontrent, et nous parlerions des crĂ©atures de la montagne, du ciel, et des nuages. Si nous Ă©tions capables de nous livrer au couteau du sculpteur invisible, nos visages changeraient chaque jour, se transformeraient chaque jour, deviendraient plus jeunes chaque jour, et nous nous rassemblerions tous au confluent de toutes les cĂ©lĂ©brations. Dans ce poĂšme, dont seule la fin est citĂ©e, ce sont les parties les plus honteuses, les plus rĂ©primĂ©es et plus condamnĂ©es de nous-mĂȘmes, nos impuretĂ©s, notre Ă©goĂŻsme, nos aviditĂ©s
 toutes ces choses qui restent dans l’ombre, qui deviennent les chemins vĂ©ritables du Seigneur. Il est dit dans l’évangile qu’il ne faut rien laisser de nous-mĂȘmes en arriĂšre. Cela veut dire que nous devons avoir un esprit de misĂ©ricorde pour toutes nos zones d’ombre. Mais aussi les reconnaĂźtre, les aimer et se pardonner. LĂ  nous pouvons comprendre la misĂ©ricorde de Dieu qui pardonne. Par contre si nous les laissons en arriĂšre, si nous ne nous en occupons pas, si nous ne les aimons pas, nous ne pouvons pas ĂȘtre heureux et ne pouvons pas dĂ©couvrir l’amour de Dieu. Je pense bien sĂ»r, qu’un travail sur soi est nĂ©cessaire. Mais j’ai du mal Ă  dire que les lectures ne nous aident pas. Vous nous avez dit, c’est en tout cas ce que j’ai compris, que ce n’était pas la peine de lire des tas de choses mais, pour ma part, j’ai besoin de lectures pour avancer. Tout Ă  fait d’accord. Q ? Comment ne pas confondre cette quĂȘte intĂ©rieure qui nous dĂ©livrerait et nous permettrait de retrouver notre innocence avec une introspection qui augmenterait encore notre ego narcissique. Comment ne pas se tromper ? Oui c’est un problĂšme. C’est une difficultĂ© qui nous fait prendre conscience que nous sommes vraiment Ă  un carrefour, sur une ligne de crĂȘte. C’est vraiment un problĂšme parce que, ce moi narcissique, cet ego, ne lĂąche pas facilement le terrain. Il revient Ă  chaque fois que nous tentons de trouver une voie pour le court-circuiter ou simplement pour le faire tenir tranquille. Il trouve un autre chemin et se rĂ©affirme. L’ego est la derniĂšre chose qui s’abandonne et il demeure un problĂšme jusqu’au bout. Il existe des voies qui proposent de tuer l’ego. Mais ce n’est pas la bonne façon de faire. Il est prĂ©fĂ©rable de s’observer, de se rendre compte que nos actions, nos comportements ne sont motivĂ©s que par ce que l’on dĂ©sire pour soi. La cause de ceci est que nous ne nourrissons pas assez notre propre cƓur. Nous devons avoir une attitude bienveillante avec notre ego et, en mĂȘme temps, nourrir le vrai Soi. FIN Traduction simultanĂ©e Claire Dagnaux Transcription et notes Jacqueline Danigo Interview rĂ©alisĂ©e par l’association Chemins de Shanti le 2 janvier 2017
s accepter tel que l on est
Saccepter tel que l'on est est souvent difficile. On a souvent du mal Ă  voir nos qualitĂ©s et atouts et on a tendance Ă  pointer du doigt que nos erreurs et nos dĂ©fauts. Mais pas de panique, Loovia vous dĂ©voile tous ses conseils et astuces pour booster votre confiance en vous et votre estime de vous-mĂȘme ! QU’EST-CE QUE Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč tout est jugĂ©, l’apparence, les opinions, les choix, les diffĂ©rences
 Le poids est un sujet qu’il est encore plus. Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč les femmes doivent toutes se ressembler et oĂč il existe un idĂ©al
 Être trop mince ça dĂ©range. J’ai toujours Ă©tĂ© trĂšs mince, voir maigre Ă©tant petite. Et j’en ai toujours souffert. J’en souffre encore. Quand tu es enfant, ça passe, les gens n’en font pas toute une histoire. Quand tu entres dans l’adolescence, lĂ  ça commence Ă  faire parler
 “T’es anorexique ?” “Manges un peu !” “Sac d’os” “On dirait une gamine” “Sale maigre”
 Je pourrais continuer encore longtemps. C’est ce que j’entendais environ une fois par jour. Chaque jour, c’était le mĂȘme supplice. J’avais le droit Ă  ces propos Ă  l’école, par mes proches, mes amis, des inconnus. Chaque jour, mon obsession devenait de pire en pire. Car oui, j’en ai fait une obsession. A force d’entendre parler de mon poids Ă  chaque conversation, c’est devenu une obsession. “Manger plus, grossir, ne pas Ă©couter les autres, grossir, se crĂ©er une barriĂšre pour ne plus ĂȘtre blessĂ©e, ne pas pleurer
“ Mon rituel chaque matin lorsque je devais m’habiller, Ă©tait de me regarder sous toutes les coutures en me disant “Mon dieu, t’es vraiment horrible. T’es trop maigre”. Je ne m’aimais pas. En fait je ne m’aimais plus, Ă  cause des autres. Je me dĂ©testais et je me rabaissais moi-mĂȘme chaque jour. A force je ne me voyais plus comme “Amandine”, je me voyais plutĂŽt comme “la fille maigre”. Je ne voyais plus ce que j’aimais chez moi, je voyais seulement ce que je dĂ©testais. J’ai fini par me dĂ©tester entiĂšrement. Et si j’étais atteinte d’une maladie ? Et si leurs propos me blessaient ? Et s’ils me faisaient du mal ? Je me demande si toutes ces personnes qui se permettaient de me juger se sont dĂ©jĂ  posĂ© ne serait-ce qu’une seule de ces questions. Alors un jour, ça a Ă©tĂ© la goutte d’eau. La rĂ©flexion de trop. J’ai pleurĂ© tout ce que je gardais en moi depuis mon enfance, et j’ai dĂ©cidĂ© de m’aimer. Telle que je suis. Avec mes dĂ©fauts. Avec mon poids, mon nez trop long, mes petites cernes, mes vergetures. AprĂšs tout, pourquoi nous devrions ĂȘtre comme tout le monde ? Pourquoi devrions-nous tous se ressembler ? Qui a dĂ©cidĂ© qu’il y avait un idĂ©al ? Un corps parfait, pas trop grosse, pas trop maigre, de la poitrine mais pas trop, des fesses mais pas un “gros cul”, pas de cellulite ni de vergetures
 Cela n’existe pas. Mon corps, c’est mon moyen de locomotion sur cette Terre. C’est grĂące Ă  lui que je peux vivre, marcher, nager, rigoler
 C’est le mien, pas celui des autres. C’est moi. Il me ressemble, il est ma personnalitĂ©, mon enveloppe physique. Alors pourquoi les autres m’empĂȘcheraient de l’aimer ? Certes, j’ai encore du boulot, mais j’en aurai toute ma vie. Le corps change, il peut connaĂźtre la grossesse, les Ă©preuves, le temps. Mais si je l’accepte tel qu’il est, je suis prĂȘte Ă  le faire pour toujours. Tant pis s’il change, je ferais tout pour ĂȘtre bien. Je m’engage Ă  manger sainement, Ă  faire du sport, Ă  prendre soin de mon esprit. Et Ă  accepter le changement. Personne ne peut le faire Ă  ma place. Et puis si les autres ne l’acceptent pas, si je ne leur plais pas, c’est leur problĂšme, pas le mien. J’ai remarquĂ© que les personnes qui se permettent de juger les autres, sont celles qui ne s’aiment pas elles-mĂȘme. Si elles jugent notre apparence, c’est qu’elles jugent la leur. “Une personne qui ne s’aime pas pourra difficilement aimer les autres.” Alors, pour devenir la personne que nous rĂȘvons d’ĂȘtre, avec le corps parfait dont nous rĂȘvons, la premiĂšre Ă©tape est de s’accepter tel que l’on est, d’aimer ce que l’on est, et d’effacer la mauvaise image que nous avons de notre physique. Et si vous ĂȘtes bien dans votre peau, que vous soyez fort, mince, petit ou grand, les autres le sentiront et ils ne pourront que vous trouver resplendissant, car vous dĂ©gagerez le bien-ĂȘtre et la confiance en vous. Chaque dĂ©tail, chaque dĂ©faut, fait de nous ce que nous sommes et c’est ce qui nous rend unique ! . . . ↡ Pour Ă©pingler l’article ↡

Ens’acceptant tel qu’on est, on parvient Ă  lĂącher prise et on accĂšde ainsi Ă  l’épanouissement. Finalement, pour parvenir Ă  la relaxation de son corps et de son esprit, tout part de la prise de conscience. DĂ©velopper la gratitude et la reconnaissance Comment fais-tu pour amener tes coachĂ©s Ă  mieux se sentir dans leur peau ?

Lorsque vous cultivez des relations avec de nouvelles personnes qui forgent un lien Ă  vie, il est peu probable que vous essayiez de changer cette personne. Vous n'allez pas leur faire sentir qu'ils sont moins une personne Ă  cause de qui ils sont, de ce qu'ils aiment ou de ce qu'ils poursuivent dans la vie. Nous savons tous que ce n'est pas la bonne façon d'Ă©tablir des liens avec un autre ĂȘtre lorsque nous nous approchons de nous-mĂȘmes et poursuivons nos relations avec nous-mĂȘmes, il semble y avoir un dĂ©sir de nous changer, de nous punir ou de nous modifier pour rĂ©pondre Ă  certaines attentes. Si vous faisiez cela Ă  une autre personne, cela serait considĂ©rĂ© comme inacceptable ! Nous ne devrions pas nous traiter simple vĂ©ritĂ© de la vie est que votre seule relation stable et permanente est avec vous-mĂȘme. Pour cette raison, c'est le plus important que vous allez avoir et celui que vous devrez entretenir si vous voulez mener une vie heureuse. Certes, vous voudrez changer certaines choses, mais il y a un Ă©norme avantage Ă  simplement accepter et Ă  aller de l'avant Ă  partir de vous avez du mal Ă  vous installer, voici quelques conseils pour vous accepter afin de commencer Ă  vivre une vie dont les autres rĂȘvent !1. Prenez le temps de vous asseoir et de dĂ©couvrir qui vous ĂȘtesLe problĂšme majeur auquel de nombreuses personnes sont confrontĂ©es en matiĂšre d'acceptation de soi est qu'elles ne se sont pas encore engagĂ©es dans la dĂ©couverte de soi. Beaucoup de gens peuvent se sentir sans but et perdus, ce qui est finalement dĂ» Ă  un manque de soi et Ă  une comprĂ©hension peu claire de qui vous ĂȘtes et de ce que vous dĂ©couverte de soi est une premiĂšre Ă©tape nĂ©cessaire, mais elle demande beaucoup de travail et est en constante Ă©volution. Commencer votre propre voyage de dĂ©couverte de soi peut consister en ce qui suit DĂ©couvrir votre objectifChacun de nous peut se sentir appelĂ© Ă  faire quelque chose Ă  un moment donnĂ© qui aidera Ă  faire grandir les autres ainsi que sont vos passions? Qu'est-ce qui vous excite et vous fait oublier tout le reste ? Qu'est-ce que vous pourriez imaginer faire pour le reste de votre vie ?Parfois, la meilleure façon de dĂ©couvrir un but est simplement de sortir et d'agir jusqu'Ă  ce que vous en sachiez plus sur vos savoir plus sur vos valeurs et vos croyancesLes valeurs et les croyances, qui peuvent provenir de l'enfance ou de l'expĂ©rience des derniĂšres annĂ©es, aident Ă  structurer nos vies et nous poussent vers les choses qui comptent le plus pour quelqu'un qui a des liens Ă©troits avec la famille? Comptez-vous sur l'honnĂȘtetĂ© et l'intĂ©gritĂ© pour vivre votre vie ? Quelles sont vos croyances spirituelles ou religieuses ? À quel type de communautĂ© souhaitez-vous construire ou appartenir ?Ce sont des questions importantes Ă  poser car ces questions dictent les choix que vous faites tout au long de votre et suivi du quotidienMĂȘme si vous ne savez pas qui vous ĂȘtes, ce que vous faites rĂ©guliĂšrement vous dira certainement tout ce que vous devez sont les choses que vous aimez faire ? Quelles sont les choses qui ne vous amusent pas forcĂ©ment ? Quelles sont les habitudes que vous avez cultivĂ©es, saines ou non ? Quels sont tes rĂȘves? Des ambitions ? Objectifs?Nous avons tous des choses qui nous rendent uniques. Prenez le temps d'en apprendre davantage sur ces aspects de y a cette idĂ©e fausse selon laquelle l'acceptation va de pair avec le refus de changer, mais ce n'est pas vrai. L'acceptation commence par la reconnaissance et l'acceptation de qui est cette personne. Vous continuerez ensuite Ă  les nourrir et Ă  changer certains de ces aspects malsains, afin de pouvoir devenir qui vous voulez ĂȘtre. [1]2. Acceptez ce que vous ne pouvez pas changerTu es qui tu es. Vous aimez ce que vous aimez. Il y a certaines choses que vous pourrez changer dans votre vie pour le mieux et, il y a certaines choses qui seront simplement pour le reste de votre temps ici sur de l'Ă©nergie mentale Ă  souhaiter que vous puissiez changer des choses qui ne changeront jamais est une perte de temps et conduira inĂ©vitablement Ă  la tristesse. Quoi que vous souhaitiez changer, sachez que vous ĂȘtes un ĂȘtre humain digne, peu importe ce qui vous le temps d'ĂȘtre gentil avec vous-mĂȘme, baissez votre garde et embrassez ces choses, et apprenez Ă  surmonter cette voix intĂ©rieure qui vous dit que vous n'ĂȘtes pas assez bon. Afin d'ĂȘtre heureux avec qui nous sommes, nous devons nous permettre d'accepter tous les aspects de plus grand obstacle pour la plupart des gens, cependant, est d'apprendre Ă  cultiver l'acceptation de soi. Si vous Ă©prouvez des difficultĂ©s Ă  ce stade, voici quelques conseils qui vous permettront d'aborder le projet plus facilement Pratiquez un discours intĂ©rieur positif et dĂ©fiez toutes les pensĂ©es nĂ©gatives qui sortent de vous au fur et Ă  mesure qu'elles sont d'ĂȘtre aimant envers vous-mĂȘme et envers vos dĂ©fauts, plutĂŽt que d'essayer de les cacher ou de les que tout ce qui s'est passĂ© vous a conduit Ă  ce point et vous mĂšnera Ă  vos objectifs au fur et Ă  mesure que vous y du temps avec vous-mĂȘme en vous engageant dans des activitĂ©s agrĂ©ables afin de crĂ©er des liens avec vous-mĂȘme et de tomber amoureux de cette que vous aurez des journĂ©es faciles comme des journĂ©es difficiles. Prenez-les comme ils peut prendre du temps, mais Ă  la fin, vous serez reconnaissant d'avoir fait l'effort de cultiver l'amour de soi. [2] PublicitĂ©3. Changez ce qui doit ĂȘtre changĂ© pour votre avantageTout changement n'est pas un bon changement. Certains changements peuvent ĂȘtre nuisibles et ces changements doivent ĂȘtre certains changements peuvent ĂȘtre bĂ©nĂ©fiques et ce changement est le type qui vous aide Ă  grandir en tant que personne et vous permet de devenir la personne que vous voulez et la reconnaissance de vous-mĂȘme et du monde qui vous entoure sont formidables, mais vous devez comprendre que l'acceptation peut ĂȘtre Ă  la fois un outil d'insatisfaction et de bonheur. Les choses que vous ne pouvez pas changer doivent ĂȘtre acceptĂ©es et vous devez aimer ces choses ; mais les choses qui peuvent et doivent ĂȘtre changĂ©es nĂ©cessitent votre attention ĂȘtes une personne en pleine croissance et en constante Ă©volution et tout ce que vous faites doit ĂȘtre fait dans votre meilleur intĂ©rĂȘt. Par exemple, disons que vous avez fait un certain nombre de mauvais choix dans votre passĂ© qui ont eu un impact sur votre vie sociale et financiĂšre. Alors que vous devez accepter que ces choix ont Ă©tĂ© faits et accepter l'expĂ©rience qui vous a amenĂ© lĂ , vous ne devriez pas accepter votre ce qui doit ĂȘtre changĂ© et ce qui doit ĂȘtre adoptĂ© se rĂ©sume Ă  une chose cela vous permet-il de vivre une vie heureuse ?Si cela vous affecte de maniĂšre rĂ©aliste de maniĂšre nĂ©gative, cela doit cela vous affecte mais que c'est le rĂ©sultat d'une image de soi nĂ©gative et que ce n'est pas quelque chose qui aurait besoin d'ĂȘtre changĂ© autrement, c'est quelque chose que vous allez quand mĂȘme changer, procĂ©dez avec les chemins doivent finalement mener au bonheur. [3]DerniĂšres pensĂ©esVous ĂȘtes vous et c'est quelque chose qui ne changera jamais. Lorsque vous apprenez Ă  vous accepter et Ă  travailler vers la meilleure version de vous-mĂȘme que vous pouvez ĂȘtre, vous vous prĂ©parez Ă  une vie remplie de bonheur et de d'aide supplĂ©mentaire pour mettre en Ɠuvre les conseils que vous avez appris ci-dessus ? Jetez un oeil Ă  ces articlesComment l'autorĂ©flexion vous donne une vie plus heureuse et plus rĂ©ussie30 habitudes de soins personnels pour un esprit, un corps et un esprit forts et sainsComment dĂ©velopper l'estime de soi un guide pour rĂ©aliser votre pouvoir cachĂ©30 façons de pratiquer l'amour de soi et d'ĂȘtre bon envers soi-mĂȘmeCrĂ©dit photo en vedette Priscilla Du Preez via RĂ©fĂ©rence, ,
Saccepter tel que l’on est signifie accepter ses qualitĂ©s et ses dĂ©fauts. De toute façon, les 2 sont liĂ©s, l’expression « les dĂ©fauts de ses qualitĂ©s » le rĂ©sume bien. Pour apprendre Ă  s’aimer soi mĂȘme, voici 3 conseils Ă  suivre :
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche Cela signifie s'accepter tel que l'on est... et Ă  partir de lĂ , choisir sciemment de changer les choses qui ne sont pas dans la lignĂ©e de la belle personne que l'on veut ĂȘtre. That means accepting the way you are... and then consciously choosing to change those things that are not in alignment with the beautiful person whom you wish to be. Plus de rĂ©sultats Cela signifie que s'il accepte notre demande, l'ordre sera automatiquement maintenu. Well, if he accepts our request, everything will be in order. Cela signifie accepter et faire avec la mondialisation. Surtout si cela signifie accepter compromettrait moi d'ĂȘtre un pompier. Especially if it means accepting it would jeopardize me being a firefighter. Cela signifie accepter de trouver une solution. Cela signifie accepter de partager une commune humanitĂ© avec l'autre». Cela signifie accepter qui vous ĂȘtes et ĂȘtre suffisamment fier de vous pour partager cela avec le monde. It means coming to terms with who you are and being proud enough of yourself to share that person with the world. Cela signifie accepter d'ĂȘtre condamnĂ©s Ă  la dĂ©composition et Ă  la mort, comme n'importe quelle autre crĂ©ature sur Terre. It means accepting that we are doomed to decay and die, just like any other creature on earth. Cela signifie accepter jour aprĂšs jour sa parole comme critĂšre valable pour notre vie. It means accepting his Word day after day as a valid criterion for our life. Pour elle, cela signifie accepter sa mort et conclure son existence dans la sĂ©rĂ©nitĂ©. For her, this means accepting her approaching death and closing her life in serenity. [Beaucoup de gens] pensent que cela signifie accepter l'Ă©chec dans la dignitĂ© et aller de l'avant. [Many people] think it means accept failure with dignity and move on. Cependant, notamment en pĂ©riode de chĂŽmage Ă©levĂ©, cette option n'est pas acceptable par les membres de foyers Ă  bas revenus, qui ont besoin d'un emploi rĂ©munĂ©rĂ© mĂȘme si cela signifie accepter un poste pour lequel ils sont surqualifiĂ©s. However, especially during a period of high unemployment, this is not an option for people from lower income households who need to find paid work even if it means accepting a job for which they are over-qualified. Par rapport au corps, cela signifie accepter la douleur, la maladie, le vieillissement et la mort. Cela signifie une acceptation par grĂące/faveur ou une attitude de rĂ©activitĂ©. Cela signifie qu'accepter la tenue d'Ă©lections Ă  date fixe constitue un pas dans le sens du progrĂšs. This means that accepting fixed election dates would be a step towards progress. Voici un aperçu des changements entourant le Visage de l'ID et ce que cela signifie pour accepter les transactions par l'intermĂ©diaire d'Apple Pay. Here's a brief rundown of the changes surrounding Face ID and what it means for accepting transactions through Apple Pay. Une fois votre inscription faite celĂ  signifie l'acceptation des conditions de vente de Khamvoyage. Once you book the tour with us it signifies your agreement and acceptance of the terms and conditions of Khamvoyage. Parce-que cela signifie qu'on accepte le principe d'universalitĂ©. Peut-ĂȘtre, en vous servant du mot accepter » n'avez-vous pas rĂ©alisĂ© qu'en anglais courant cela signifie accepter les choses telles qu'elles sont. Perhaps when you used the word 'accept' you did not realize that in ordinary English that means to accept things as they are. L'arrĂȘt ou le quasi-arrĂȘt de l'alimentation orale est souvent difficile Ă  accepter par la famille parce que cela signifie accepter que le patient va mourir. For family members, accepting the patient's poor oral intake is often difficult because it means accepting that the patient is dying. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 109090. Exacts 1. Temps Ă©coulĂ© 1572 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200
Lepremier conseil que j’aimerais vous proposer, c’est d’apprendre Ă  vous accepter tel que vous ĂȘtes. Les cartes ont Ă©tĂ© distribuĂ©es et il faut faire avec le jeu qu’on a.
S'accepter tel que l'on est Book Cet atelier vous propose d'accueillir qui vous ĂȘtes, dans la plus grande des authenticitĂ©s, celle que vous aurez choisie. Lors de cette expĂ©rience, le groupe aura un rĂŽle capital, puissant, nourricier et rĂ©vĂ©lateur. Elle va se dĂ©rouler en plusieurs Ă©tapes, alliant des temps de travail individuel, en petits et grands groupes. Un moment doux pour Entrer en contact avec soi Vivre ses Ă©motions en respectant son rythme Accueillir ses peurs Accueillir le regard des autres Prendre appui sur le groupe pour se dĂ©couvrir et se rĂ©vĂ©ler Cette rencontre vous propose de traverser des Ă©tapes essentielles de l'amour de soi et d'explorer l'accueil inconditionnel de soi et des autres. J'utilise des techniques Ă©nergĂ©tiques et de communication de groupe pour vous accompagner dans cette Ă©volution. Le cadre de travail proposĂ© est construit de façon Ă  respecter chaque tempĂ©rament, des plus extravertis aux plus introvertis. Il n'y pas de prĂ©-requis pour participer Ă  cet atelier, si ce n'est la sincĂ©ritĂ© de vous dĂ©couvrir un peu plus encore et peut-ĂȘtre diffĂ©remment, sous une autre forme. L'Ă©change dure 3h00 avec une ou plusieurs petites pauses pendant le travail. ✹ Une participation de 25 € vous est demandĂ©e. merci de prĂ©voir l'appoint ✹ PrĂ©voyez une tenue confortable et souple. ✹ Pour vous inscrire, cliquez sur la mention "PARTICIPE" Lieu Yourte - Talussac Ă  Saint-Pierreville. Au plaisir de vous rencontrer. Emilie 06 46 06 23 90 Read more
saceptrt l s’accepter tel que l’on est 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester actif s’aceptrt l en parler 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 3 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester en contact avec des amis 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 4 18.11.14
Publisher Description Savoir s'accepter tel que l'on estQui n'a pas Ă©prouvĂ© de honte ou de culpabilitĂ© dans sa vie ? Mais dĂšs qu'il s'agit de guĂ©rir le passĂ© et de nous pardonner, nous nous sentons dĂ©munis. Pourquoi ? Notre conception du pardon intĂšgre gĂ©nĂ©ralement une victime et un coupable. Mais nous nous retrouvons dans l'impasse dĂšs lors que nous jouons ces deux rĂŽles, que nous faisons du tort Ă  nous-mĂȘmes. Comment transcender cette vision classique des choses et retrouver le sens profond des Ă©vĂ©nements douloureux ? L'auteur nous invite Ă  appliquer le pouvoir du pardon radical Ă  ce dilemme intĂ©rieur afin d'obtenir une guĂ©rison profonde et durable. Il nous propose un procĂ©dĂ© global et puissant qui intĂšgre toutes les dimensions de l'ĂȘtre. Remarquable par la comprĂ©hension des mĂ©canismes psychologiques qui nous empĂȘchent de trouver la paix en nous-mĂȘme, cet ouvrage nous donne les moyens concrets et efficaces de nous aimer, de nous accepter tels que nous sommes, et d'accueillir la joie de vivre dans notre coeur.
Accepterl’amour de Dieu, c’est ĂȘtre transformĂ© " (extrait du livre " S’aimer soi-mĂȘme " de Walter Trobisch). D’abord, le Christ m' accepte comme je suis : "Celui qui vient Ă  moi, jamais, non, jamais, je ne repousserai celui qui viendra Ă  moi." .
RĂ©cemment, un ami m’a dit que sa mĂšre voulait paraĂźtre moins imparfaite » qu’elle ne l’était en rĂ©alitĂ©. Elle Ă©tait gentille » et cela signifiait en fait ne pas ĂȘtre honnĂȘte avec les gens qui lui Ă©taient proches Ă  propos de choses qui l’irritaient ou la dĂ©rangeaient. Elle ne laissait voir Ă  son entourage que les aspects d’elle-mĂȘme qu’elle percevait comme corrects, positifs, seulement ses forces, et non ses faiblesses. Mon ami regrettait qu’elle n’ait pas pu avoir une vie plus authentique et des relations plus profondes et sincĂšres. Selon ses propres termes Les funĂ©railles de ma mĂšre ont Ă©tĂ© difficiles pour moi parce que la personne reprĂ©sentĂ©e durant la cĂ©rĂ©monie avait peu Ă  voir avec ce qu’était vraiment ma mĂšre. J’aurais aimĂ© que plus de gens puissent la connaĂźtre, avec ses failles et ses faiblesses mais de son vivant elle n’a donnĂ© accĂšs Ă  personne Ă  ces aspects-lĂ  de sa personnalitĂ© ». J’ai su que cela touchait une corde sensible en moi car les paroles de mon ami me sont revenues Ă  l’esprit au cours des semaines qui ont suivi. J’ai commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir davantage Ă  la frĂ©quence Ă  laquelle moi et beaucoup d’entre nous ! faisons la mĂȘme chose nous priver de la possibilitĂ© d’ĂȘtre notre vrai moi, authentique, dans les choix quotidiens. La vie n’est pas faite que de grands Ă©vĂ©nements, elle se dĂ©roule surtout dans les centaines de petites choses qui font le quotidien. Comment nous nous occupons, comment nous parlons aux gens, avec qui nous choisissons de passer du temps, ce Ă  quoi nous pensons, ce sur quoi nous travaillons c’est tout cela qui constitue notre vie quotidienne. Les dĂ©cisions et les choix que nous faisons chaque jour ont donc une rĂ©elle importance. Lorsque nous sommes gentils » ou avons la bonne attitude », ou que nous nous dĂ©robons Ă  une interaction stressante ou que nous dĂ©cidons de ne pas poursuivre une pensĂ©e, une idĂ©e ou un objectif qui nous passionne, nous nous trahissons. Nous nions qui nous sommes Ă  ce moment-lĂ . Nous freinons notre propre croissance et, par extension, celle des autres. Nous manquons l’occasion de vivre pleinement notre vie. Qu’est-ce qui nous en empĂȘche ? La peur la peur qui nous bloque, qui nous empĂȘche de rĂ©pondre Ă  nos besoins importants ou peut-ĂȘtre mĂȘme de dĂ©couvrir ce qu’ils sont. La peur qui nous empĂȘche de pleinement fonctionner. Parce que nous avons souvent peur de l’inconnu, nous avons peur du changement. Nous choisissons d’ĂȘtre prudents et de nous en tenir Ă  ce que nous savons. Nous nous empĂȘchons de relever certains dĂ©fis, d’entreprendre certaines actions, d’occuper certains postes et de nouer certaines relations. Nous nous adaptons Ă  des situations dĂ©sagrĂ©ables, mauvaises ou malsaines parce que c’est plus confortable que d’affronter l’inconnu. On pourrait appeler cela la peur de vivre ». Comme le dit la psychologue Rochelle Myers, la plupart des gens vivent sur la pointe des pieds en essayant d’atteindre la mort en toute sĂ©curitĂ© ». La clĂ© est l’acceptation de soi La vĂ©ritable acceptation de soi se produit lorsque nous pouvons accepter chaque aspect de notre ĂȘtre et de notre corps. Qu’est-ce qui conduit Ă  une telle acceptation de soi ? Comment pouvons-nous en arriver Ă  accepter tous nos sentiments, toutes nos pensĂ©es et tous nos besoins ? Cela commence lorsque nous nous ouvrons aux aspects cachĂ©s de nous-mĂȘmes et que nous les acceptons, les intĂ©grons et mĂȘme les enlaçons. Voici une autre utilisation puissante et importante de l’écoute active qui est le langage de l’acceptation tout comme nous le faisons avec les autres lorsqu’ils ont besoin d’empathie, de comprĂ©hension et d’acceptation, nous pouvons nous accompagner nous-mĂȘmes. Tout comme nous aidons un collĂšgue de travail, un enfant ou un ami Ă  surmonter sa colĂšre et Ă  atteindre un sentiment ou un point de vue plus profond, nous pouvons jouer ce mĂȘme rĂŽle vis-Ă -vis de nous-mĂȘmes. Lorsque nous perdons le besoin de nous juger constamment et que nous pouvons apprendre Ă  nous accepter nous-mĂȘmes, nous nous ouvrons la possibilitĂ© de devenir de plus en plus ce que nous sommes capables d’ĂȘtre, car le fait de nous accepter tels que nous sommes nous donne en fait la libertĂ© de changer. Nous commençons Ă  dĂ©couvrir toute l’étendue de notre propre singularitĂ© et Ă  nous sentir libres de l’exprimer et d’agir en consĂ©quence. Nous pouvons Ă©galement dĂ©velopper une acceptation de soi plus profonde en Ă©tablissant, en entretenant et en maintenant des relations que l’on peut qualifier de thĂ©rapeutiques » avec d’autres personnes – des personnes qui nous acceptent tel que nous sommes et non tel que nous pensons devoir ĂȘtre. Il s’agit de relations dans lesquelles chacun de nous est libre et dĂ©sireux d’ĂȘtre lui-mĂȘme, c’est-Ă -dire que nos paroles et notre comportement correspondent Ă  nos sentiments, et dans lesquelles nous pouvons tous deux nous Ă©couter avec empathie. Lorsque nous avons tous les deux le courage, la compĂ©tence et l’intention d’entretenir de telles relations, nos interactions permettent aux personnes uniques que nous sommes de continuer Ă  Ă©merger. Traduit et adaptĂ© par Paul Herlaut Photo Lisa Fotios / Pexels
Saccepter, c’est accepter les autres. C’est les inviter Ă  ĂȘtre eux-mĂȘmes pour tous se mettre au mĂȘme niveau. S’accepter, c’est se dĂ©passer, se mettre Ă  nu et se trouver beau. Être entiĂšre, ne plus se cacher. Être vraie. Être vue telle que l’on est. S’accepter entiĂšrement, c’est l’arme infaillible contre les jugements.
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article L'acceptation de soi est la capacitĂ© d'apprĂ©cier toutes vos facettes de façon inconditionnelle. Cela signifie que vous devriez apprĂ©cier Ă  la fois vos qualitĂ©s et ce que vous aimeriez amĂ©liorer chez vous [1] . La procĂ©dure d'acceptation de soi-mĂȘme commence par la reconnaissance des jugements que vous portez vis-Ă -vis de vous-mĂȘme et de les adoucir afin que tous les aspects de votre personnalitĂ© puissent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s. De plus, il est important de vous engager Ă  faire passer votre tendance Ă  vous juger et Ă  vous accuser Ă  un sentiment de compassion et de tolĂ©rance. 1 Reconnaissez vos forces et vos caractĂ©ristiques. Faites-le pour garder un Ă©quilibre entre le travail que vous faites sur vous-mĂȘme pour accepter les aspects que vous apprĂ©ciez et les autres. De plus, le fait de vous rendre compte de vos forces peut changer votre façon de vous voir. Commencez par faire la liste de vos forces ou trouvez chaque jour une force, s'il est trop difficile d'y penser en une seule fois. Vous pourriez, par exemple, vous trouver les forces suivantes je suis une personne affectueuse, je suis une mĂšre courageuse, je suis un peintre de talent, je sais rĂ©soudre les problĂšmes en faisant preuve de crĂ©ativitĂ©. 2 Faites une liste de vos rĂ©alisations. Identifiez et reconnaissez vos forces en faisant une liste de ce que vous avez rĂ©alisĂ©. Cela peut comprendre les personnes que vous avez pu aider, vos rĂ©alisations personnelles ou les pĂ©riodes difficiles que vous avez dĂ» surmonter. Ces types d'exemples peuvent vous aider Ă  diriger votre concentration sur des agissements ou des actes concrets. Des exemples plus concrets peuvent vous aider Ă  identifier vos forces, comme dans les cas suivants. La mort de mon pĂšre a Ă©tĂ© dure pour ma famille, mais je suis fier d'avoir Ă©tĂ© en mesure de soutenir ma mĂšre pendant cette Ă©preuve. J'ai dĂ©cidĂ© de courir un semi-marathon et aprĂšs un entrainement de six mois, j'ai pu franchir la ligne d'arrivĂ©e ! AprĂšs avoir perdu mon emploi, j'ai eu du mal Ă  m'adapter et Ă  payer les factures, mais j'ai appris bien des choses sur ma propre force et j'ai Ă  prĂ©sent un meilleur emploi. 3 Sachez comment vous vous jugez. Le fait de reconnaitre la façon dont vous vous jugez est important pour identifier les endroits oĂč vous ĂȘtes trop critique vis-Ă -vis de vous-mĂȘme. Vous ĂȘtes trop critique quand vous crĂ©ez ou vous trouvez des caractĂ©ristiques de vous-mĂȘme qui vous paraissent inutiles. Cela peut comprendre la honte ou la dĂ©ception et ces sentiments peuvent Ă©craser l'acceptation de soi. Commencez par rĂ©diger une liste de pensĂ©es nĂ©gatives qque vous pourriez avoir. En voici des exemples je ne serai jamais capable de faire quelque chose correctement, j'interprĂšte toujours les remarques des autres de travers, il y a certainement chez moi quelque chose qui cloche, je suis trop gros, je ne sais absolument pas prendre de dĂ©cisions. 4 Reconnaissez la façon dont les remarques des autres vous touchent. Quand d'autres font des remarques Ă  notre sujet, nous avons souvent tendance Ă  les analyser et Ă  les assimiler Ă  notre propre opinion de nous-mĂȘmes. Vous pouvez commencer par revoir votre façon de vous percevoir si vous ne trouvez pas l'origine de votre tendance Ă  vous juger [2] . Si, par exemple, votre mĂšre a toujours critiquĂ© votre allure, vous pourriez ne pas ĂȘtre trĂšs sĂ»r de vous par rapport Ă  votre apparence. Mais vous devriez comprendre que ses critiques Ă©taient issues de ses propres incertitudes. Vous pouvez retrouver de l'assurance en votre allure une fois que vous vous rendez compte de cela. PublicitĂ© 1 Prenez-vous sur le fait quand vous avez des pensĂ©es nĂ©gatives. Il est temps de rĂ©duire votre petite voix critique, quand vous connaissez les domaines prĂ©cis de votre vie pour lesquels vous ĂȘtes le plus critique. Votre petite voix critique peut vous dire que votre physique n'est pas idĂ©al ou que vous faites constamment tout de travers. Le fait de rĂ©duire au silence votre petite voix critique va rĂ©duire vos pensĂ©es nĂ©gatives sur vous-mĂȘme, ce qui vous aidera Ă  crĂ©er de la place pour la compassion, le pardon et l'acceptation. Pour ce faire, entrainez-vous Ă  prendre ces pensĂ©es nĂ©gatives en flagrant dĂ©lit quand elles apparaissent. Si, par exemple, vous vous surprenez Ă  penser que vous ĂȘtes un parfait imbĂ©cile, posez-vous les questions suivantes. Est-ce une pensĂ©e sympathique ? Cette pensĂ©e me met-elle Ă  l'aise ? Pourrais-je exprimer cette pensĂ©e Ă  un ami ou Ă  une personne aimĂ©e ? Sachez que votre petite voix intĂ©rieure critique s'est Ă  nouveau manifestĂ©e, si les rĂ©ponses Ă  ces questions sont non. 2 DĂ©fiez votre critique intĂ©rieur. Affrontez et rĂ©duisez au silence ce critique intĂ©rieur, si vous vous retrouvez Ă  avoir des pensĂ©es nĂ©gatives vis-Ă -vis de vous-mĂȘme. PrĂ©parez-vous Ă  y opposer une pensĂ©e plus positive ou un mantra. Vous pouvez aussi vous servir des forces que vous avez identifiĂ©es plus haut. Si, par exemple, vous vous surprenez Ă  dire que vous n'ĂȘtes pas intelligent, changez cette pensĂ©e et faites-en une affirmation plus gentille, comme de vous dire que vous ĂȘtes intelligent dans d'autres domaines, mĂȘme si vous ne connaissez rien Ă  ce sujet en particulier et que c'est trĂšs bien ainsi. Souvenez-vous de vos forces Nous n'avons pas tous les mĂȘmes talents. Je sais que je suis douĂ© dans un autre domaine et je suis fier de cela ». Rappelez Ă  votre critique intĂ©rieur que sa dĂ©claration nĂ©gative est fausse. Dites-lui que vous en avez assez de l'entendre vous rĂ©pĂ©ter que vous ĂȘtes idiot, parce que ce n'est pas vrai. Ajoutez que vous avez appris Ă  comprendre que vos forces et votre intelligence se trouvent dans des domaines importants et bien prĂ©cis. Assurez-vous de toujours rester gentil avec votre critique intĂ©rieur. Ne l'oubliez pas et rĂ©pĂ©tez-le-vous, car vous ĂȘtes toujours en train d'apprendre Ă  changer ce que vous pensez de vous-mĂȘme. 3 Mobilisez-vous d'abord sur l'acceptation de vous-mĂȘme avant de chercher Ă  vous amĂ©liorer. L'acceptation de soi est le fait de vous accepter tel que vous ĂȘtes dans l'instant prĂ©sent. L'amĂ©lioration de soi se concentre plutĂŽt sur les changements qui doivent ĂȘtre faits afin de mieux s'accepter Ă  l'avenir [3] . Identifiez des domaines avec l'intention de les apprĂ©cier tels qu'ils sont dĂšs Ă  prĂ©sent. Vous pouvez ensuite dĂ©cider si vous voulez les amĂ©liorer plus tard. Vous voudriez, par exemple, perdre du poids. Commencez par accepter votre poids actuel en vous disant que vous ĂȘtes trĂšs bien comme vous ĂȘtes et que vous l'acceptez. Vous devriez ensuite recadrer votre remise en forme d'une façon productive et positive. PlutĂŽt que de penser que vous n'avez pas la silhouette idĂ©ale et ne serez jamais bien dans votre peau si vous ne perdez pas dix kilos, vous pourriez vous dire que vous avez envie de perdre dix kilos afin d'ĂȘtre en meilleure santĂ© et d'avoir plus d'Ă©nergie. 4 Changez vos attentes en ce qui vous concerne. Quand vous avez des attentes irrĂ©alistes pour vous-mĂȘme, vous allez au-devant de dĂ©ceptions. Cela ne va pas, en retour, vous faciliter la tĂąche pour vous accepter. Changez vos attentes de vous-mĂȘme. Si vous dites, par exemple, que vous Ă©tiez trop paresseux aujourd'hui pour nettoyer la cuisine, changez vos attentes et dites que vous avez prĂ©parĂ© un diner pour toute la famille et que vous pouvez demander Ă  vos enfants de vous donner un coup de main pour nettoyer la cuisine avec vous le lendemain aprĂšs le petit-dĂ©jeuner. PublicitĂ© 1Apprenez Ă  ĂȘtre digne de compassion. Il peut sembler bizarre ou malaisĂ© de dire que vous allez vous forger de la compassion pour vous-mĂȘme, parce que cela peut sembler Ă©gocentrique. Mais l'art de la compassion pour soi-mĂȘme est le ciment de l'acceptation de soi. Cela est dĂ» au fait que la compassion est la conscience sympathique de la dĂ©tresse des autres et le dĂ©sir de la soulager [4] ». Vous mĂ©ritez Ă  votre tour cette mĂȘme comprĂ©hension et cette gentillesse ! La premiĂšre mesure Ă  prendre en direction de cette compassion pour vous-mĂȘme est de valider votre propre valeur. Il est facile et assez courant de laisser aux autres le soin de dĂ©cider de vos pensĂ©es, de vos sentiments, opinions et convictions. PlutĂŽt que de laisser les autres dĂ©cider Ă  votre place, vous devriez vous forger les vĂŽtres. Apprenez Ă  valider et Ă  approuver quoi que ce soit de vous-mĂȘme, sans avoir besoin de le chercher auprĂšs des autres. 2 EntraĂźnez-vous Ă  affirmer quelque chose tous les jours. Une affirmation est une dĂ©claration positive censĂ©e vous encourager et vous remonter le moral. L'emploi de cette mĂ©thode sur vous-mĂȘme peut ĂȘtre un outil puissant pour vous permettre d'avoir plus de compassion pour vous-mĂȘme [5] . L'autocompassion permet d'avoir plus d'empathie pour soi-mĂȘme et de mieux pardonner Ă  la personne que l'on Ă©tĂ©, ce qui aide Ă  surmonter des sentiments de culpabilitĂ© et de regret. Des affirmations journaliĂšres peuvent changer progressivement votre façon de vous critiquer. Forgez-vous de la compassion tous les jours en faisant des affirmations Ă  l'oral, Ă  l'Ă©crit ou en pensĂ©e. En voici quelques exemples. Je suis capable de surmonter des pĂ©riodes difficiles, je suis plus fort que je ne le crois. Je ne suis pas parfait et je fais des erreurs et c'est tout Ă  fait normal. Je suis une fille gentille et attentionnĂ©e pour mes parents. Faites une pause compassionnelle. Prenez le temps d'ĂȘtre gentil avec vous-mĂȘme quand vous voulez avoir plus de compassion, si vous avez parfois du mal Ă  accepter un aspect particulier de vous-mĂȘme. Reconnaissez que votre jugement de vous-mĂȘme vous crĂ©e des souffrances et que cela peut ĂȘtre trop dur. Souvenez-vous d'ĂȘtre gentil et de vous entrainer Ă  vous affirmer davantage. Si vous pensez par exemple que vous n'avez pas la silhouette idĂ©ale et que vous ĂȘtes trop gros, reconnaissez que ces pensĂ©es ne vous font pas du bien et dites-vous que vous ne voudriez pas dire des choses pareilles Ă  un ami parce qu'elles vous dĂ©priment et sont inutiles. Dites quelque chose de gentil Mon corps n'est sans doute pas parfait, mais il est Ă  moi et il est en bonne santĂ©. Il me permet aussi de faire ce que j'aime, comme de jouer avec mes enfants. » 3 Exercez-vous Ă  vous pardonner. Cela peut rĂ©duire les sentiments de culpabilitĂ© du passĂ©, lesquels peuvent vous empĂȘcher d'accepter pleinement votre prĂ©sent. Vous pourriez juger votre passĂ© sur la base d'attentes irrĂ©alistes. Le fait de vous pardonner va soulager votre honte et vous donnera de la place pour crĂ©er une vision plus empathique et tolĂ©rante de votre passĂ©. Notre critique intĂ©rieur est parfois peu disposĂ© Ă  nous laisser pardonner notre passĂ©. Nous sommes parfois trop durs avec nous-mĂȘmes en trainant un sentiment de culpabilitĂ©. Faites surtout trĂšs attention Ă  la culpabilitĂ© que vous pourriez Ă©prouver. TĂąchez d'Ă©valuer d'Ă©ventuels facteurs extĂ©rieurs impliquĂ©s dans la situation. Les Ă©vĂšnements sont parfois incontrĂŽlables, mais nous nous cramponnons toujours Ă  nos sentiments de culpabilitĂ©. Voyez si ces actes Ă©taient vraiment hors de votre contrĂŽle et tĂąchez de vous pardonner pleinement. Le fait de rĂ©diger une lettre peut ĂȘtre un outil mental et Ă©motionnel puissant pour dĂ©marrer la procĂ©dure quand il s'agit de vous pardonner [6] . RĂ©digez une lettre Ă  la personne que vous Ă©tiez dans le passĂ© et employez un ton gentil et affectueux. Rappelez Ă  cette personne du passĂ© votre critique intĂ©rieur que vous avez pu faire des erreurs. Mais vous savez que vous n'ĂȘtes pas parfait et que c'est normal. Nous pouvons souvent tirer des enseignements utiles de nos erreurs. Souvenez-vous que vos agissements ou votre attitude peuvent avoir Ă©tĂ© vos seules connaissances Ă  ce moment-lĂ . 4 Faites des pensĂ©es de culpabilitĂ© des affirmations de reconnaissance. Le fait de vous souvenir que vous pouvez souvent apprendre quelque chose de vos erreurs du passĂ© peut vous aider Ă  en avoir une vision fĂ©conde. Entrainez-vous Ă  ĂȘtre reconnaissant pour ce que vous avez appris et Ă  accepter que les erreurs fassent partie de la vie. Votre culpabilitĂ© ou honte passĂ©e ne vous empĂȘchera plus Ă  ce moment-lĂ  de vous accepter aujourd'hui. Notez les expressions ou pensĂ©es de culpabilitĂ© que vous pouvez avoir et faites-en des dĂ©clarations de reconnaissance. Une critique ou une pensĂ©e dĂ©pourvue de gentillesse pourrait ĂȘtre j'Ă©tais horrible avec ma famille quand j'avais la vingtaine, j'ai honte de m'ĂȘtre comportĂ© aussi mal. Une dĂ©claration de reconnaissance je suis reconnaissant de ce que j'ai tirĂ© des leçons de mon comportement Ă  cet Ăąge, car cela m'a aidĂ© dans l'Ă©ducation de mes propres enfants. Une critique ou pensĂ©e odieuse j'ai dĂ©chirĂ© ma famille parce que je ne pouvais pas m'arrĂȘter de boire. Une dĂ©claration de reconnaissance je suis reconnaissant d'avoir rĂ©parĂ© mes relations familiales et je le referai Ă  l'avenir. PublicitĂ© 1Entourez-vous de personnes affectueuses. Vous pourriez avoir du mal Ă  vous accepter si vous frĂ©quentez des gens qui vous dĂ©nient toute valeur. Quand on n'arrĂȘte pas de vous critiquer, il peut ĂȘtre plus dur de vous convaincre que vous avez des forces. FrĂ©quentez des personnes qui vous soutiennent et qui vous aiment. Elles vous donneront l'Ă©lan dont vous avez besoin pour vous accepter tel que vous ĂȘtes [7] . 2Voyez un psychologue. Il peut vous aider Ă  vous dĂ©barrasser de tout ce qui peut vous empĂȘcher de vous accepter. Cette personne peut vous aider Ă  analyser votre passĂ© pour comprendre pourquoi vous pensez telles choses de vous-mĂȘme. Elle peut aussi vous permettre de trouver des moyens de vous parler Ă  vous-mĂȘme, vous donner des idĂ©es pour vous affirmer et ainsi de suite. 3 Posez des limites et sachez communiquer avec assurance avec les autres. Quand vous avez besoin d'Ă©changer avec des personnes qui sont critiques et qui ne vous soutiennent pas, vous pourriez avoir besoin de leur imposer des limites. Parlez Ă  ces personnes de telle sorte qu'elles comprennent en quoi leurs commentaires sont stĂ©riles et blessants. Si, par exemple, votre patron critique constamment votre travail, vous pourriez lui dire J'ai l'impression de ne pas ĂȘtre soutenu suffisamment dans ce que je fais. Je veux faire du bon travail, mais j'ai l'impression qu'il est difficile de vous satisfaire. Essayons de trouver une solution qui puisse nous convenir Ă  tous les deux ». PublicitĂ© Conseils La procĂ©dure d'acceptation de soi-mĂȘme peut prendre un certain temps. AprĂšs tout, vous devez apprendre Ă  revoir votre façon de vous parler. Faites preuve de patience avec vous-mĂȘme. Le temps est prĂ©cieux. Donnez de la valeur Ă  chaque jour en faisant preuve d'une patience et d'une compassion infinies pour vous-mĂȘme. Tenez compte de ce que les autres disent de vous. Essayez de vous amĂ©liorer en consĂ©quence, mais ne vous changez pas complĂštement. Il n'y a pas au monde deux personnes comme vous. PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 9 326 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
14juin 2021 - S’accepter tel que l'on est est souvent difficile. On a souvent du mal Ă  voir nos qualitĂ©s et atouts et on a tendance Ă  pointer du doigt que nos erreurs et nos dĂ©fauts. Mais pas de panique, Loovia vous dĂ©voile tous ses conseils et astuces pour booster votre confiance en vous et votre estime de vous-mĂȘme ! QU’EST-CE QUE
Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en dĂ©veloppant un projet qui a du SENS. AprĂšs avoir accompagnĂ© plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prĂ©nom et votre email sur la page suivante pour y accĂ©der Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement dĂ©jĂ  + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment. Lorsqu’on parle d’acceptation de soi, il y a deux domaines majeurs sur lesquels travailler. Le premier, c’est le fait de s’accepter physiquement, tel que nous sommes, ce qui est pour beaucoup un dĂ©fi. Le deuxiĂšme, c’est celui de s’accepter en tant que personne, avec tous nos traits de caractĂšre. LĂ  encore, selon notre passĂ©, notre Ă©ducation, ça n’est pas aisĂ© pour tous et demande parfois un long cheminement personnel. Aujourd’hui, je vous propose donc quelques conseils pour tenter de vous accepter pleinement. Sommaire1 S’accepter comme on est Commencez Ă  voir votre corps tel qu’il est merveilleux !

Croyezvous que l'on ne pourrait pas vous accepter tel que vous ĂȘtes si l'on vous connaissait vraiment? Si vous vous reconnaissez dans ces questions, c'est que vous ĂȘtes sous l'emprise d'un schĂ©ma qui vous entraĂźne Ă  adopter des conduites d'Ă©chec. Ce schĂ©ma, qui trouve son origine dans votre enfance, influence toute votre vie.

" Je suis nĂ© handicapĂ©, ma vie n'a pas Ă©tĂ© facile tous les jours. Pourquoi mon corps est il en souffrance ! C'est difficile Ă  expliquer !" Son handicap, on ne doit pas le porter comme une Ă©toile jaune. Pas plus qu'on ne doit le porter en banniĂšre. Mais le ressentir comme une force intĂ©rieure, qui fait avancer. Oui, avancer, mĂȘme en fauteuil, mĂȘme sourd, mĂȘme aveugle. Avancer dans sa tĂȘte. Et surtout ne pas ĂȘtre aimĂ© "pour" ou "grĂące" Ă  son handicap, ce qui serait alors, au mieux de la compassion, et au pire de la pitiĂ©. Mais sĂ»rement pas de l'amour. Etre aimĂ© pour ce qu'on est Ă  l'intĂ©rieur de soi. Devenir handicapĂ© n'est pas une fatalitĂ©; respecter la diffĂ©rence c'est savoir vivre. On ne choisit pas de naĂźtre ou de devenir lourdement handicapĂ©... Face aux imprĂ©vus, puissants et misĂ©rables sont logĂ©s Ă  la mĂȘme enseigne...Les personnes handicapĂ©es ne sont pas des citoyens de seconde zone, des fantĂŽmes qui s'agitent les soirs de pleine lune, des exclus qui se contentent des miettes des fruits de la croissance. Ce sont des acteurs de la vie politique de ce pays, leur parole est incontournable ils ont beaucoup Ă  dire sur la façon dont notre pays organise la solidaritĂ© nationale. La devise Ă  adopter est "s'accepter tel qu'on est". Nous laisser guider par le destin, oui, mais en Ă©tant toujours vigilant et conscient du chemin que l'on prend et souvent il est parsemĂ© d'embĂ»ches. Ne baissez pas les bras si votre handicap et travail sont compatibles. N'attendez pas non plus qu'il soit trop tard pour rĂ©agir, pour vous dĂ©fendre.
CetĂ©pisode concluant, vient clore notre thĂšme "dĂ©culpabilisons". J'aborderai avec vous: 1. la situation dans laquelle on se trouve: qu'est ce qui contribue Ă  notre difficultĂ© Ă  nous accepter et accepter oĂč on se trouve dans la vie. 2. 6 clĂ©s, solutions qui m'ont aidĂ© personnellement Ă  y faire face. Tu recherches une mĂ©thode Ă  suivre pour t’aider Ă  reprendre ta vie en main ? Que dirais-tu de tĂ©lĂ©charger le guide 5 Ă©tapes Ă  suivre pour oser vivre une vie Ă©quilibrĂ©e & alignĂ©e ? C’est par ici ! Dans cet Ă©pisode nous faisons un focus sur l’Acceptation de soi, qui termine notre voyage sur le Soi. Si vous n’avez pas pas encore Ă©coutĂ© les prĂ©cĂ©dents Ă©pisodes, vous pouvez redĂ©couvrir l’épisode 48 – Confiance en Soi, Estime de Soi, Acceptation de Soi et Amour de Soi – Quelle diffĂ©rence ? l’épisode 49 – 5 Conseils pour dĂ©velopper sa confiance en soil’épisode 52 – Quelle est la diffĂ©rence entre l’estime de soi et la confiance en soi ?l’épisode 53 – 4 Questions Ă  se poser pour dĂ©velopper l’Amour de Soi Parfois nous avons tendance Ă  confondre l’acceptation de soi et l’estime de soi. Pour vous aider Ă  mieux comprendre la diffĂ©rence, je vous cite le Leon F Seltzer Alors que l’estime de soi se rĂ©fĂšre spĂ©cifiquement Ă  la valeur ou Ă  la valeur que nous accordons Ă  nous-mĂȘmes, l’acceptation de soi fait allusion Ă  une affirmation de soi beaucoup plus globale. Lorsque nous nous acceptons nous-mĂȘmes, nous sommes capables d’embrasser toutes les facettes de nous-mĂȘmes, pas seulement les parties positives, les plus estimables». » L’Acceptation de soi c’est s’accepter tel que l’on est sans condition, tant notre cĂŽtĂ© positif que le cĂŽtĂ© nĂ©gatif. Et pour cela, il faut accepter Ă  la fois la lumiĂšre et l’ombre qui sont en nous. L’ombre, c’est tout ce que nous n’acceptons pas de nous et que nous cachons derriĂšre un masque pour ĂȘtre accepter en sociĂ©tĂ©. “Vous-mĂȘme, autant que quiconque dans l’univers entier, mĂ©ritez votre amour et votre affection”Sharon Salzberg Les sujets abordĂ©s dans ce podcast AKA la timeline pour les ultra-pressĂ©s 201 Qu’est-ce que l’Acceptation de Soi Accepter qui on est et sans avoir besoin de porter un masque en sociĂ©tĂ©355 Comment travailler sur l’Acceptation de Soi et notamment sur notre part d’ombre915 3 Questions pour identifier ce que protĂšge le masque que nous portons en sociĂ©tĂ©1040 Ce qu’il faut retenir de cet Ă©pisode Pour Ă©couter l’épisode plus tard, n’hĂ©site pas Ă  l’épingler dans Pinterest 📌 Le Challenge de la semaine RĂ©flĂ©chir aux 3 questions suivantes pour vous aider Ă  travailler sur votre part d’ombre Dans quelle situation Ă©prouves-tu de la honte ? Dans quelle situation as-tu peur de laisser paraĂźtre une faiblesse ?Quels sujets de discussion as-tu tendance Ă  Ă©viter ?Que souhaites-tu protĂ©ger Ă  travers ce masque que tu portes en sociĂ©tĂ© ? Pour aller plus loin, vous pouvez rĂ©cupĂ©rer la fiche Challenge Exercice pour Apprivoiser son ombre / Rubrique CONFIANCE-ESTIME-AMOUR-ACCEPTATION DE SOI Pour Aller plus loin Vous pouvez lire le livre de Jean Monbourquette – Apprivoiser son ombre, le cĂŽtĂ© mal aimĂ© de soi N’oublie pas de souscrire au podcast sur la plateforme de ton choix et de laisser un commentaire si l’épisode t’a plu ! Ces Ă©valuations aideront d’autres personnes Ă  trouver le podcast et ça me motivera dans ma quĂȘte Ă  t’aider dans ta transformation de vie ! Tu souhaites partager ton histoire ? Si tu souhaites ĂȘtre pour partager ton histoire, un outil, un truc qui t’as permis d’avancer, n’hĂ©site pas Ă  m’envoyer un message Ă  podcast et je me ferai un plaisir de te recontacter ! Cest ce que je te propose d’aborder dans ce podcast! Chaque mardi, un nouvel Ă©pisode de Singulier te proposera un nouveau contenu afin de t’aider Ă  t’aimer et t'accepter tel que tu es afin de faire de ta diffĂ©rence une force! Sois fier de qui tu es! Rien n'est impossible, ta seule limite c'est toi-mĂȘme! Tu peux accĂ©der aux liens
S’accepter tel que l'on est est souvent difficile. On a souvent du mal Ă  voir nos qualitĂ©s et atouts et on a tendance Ă  pointer du doigt que nos erreurs et nos dĂ©fauts. Mais pas de panique, Loovia vous dĂ©voile tous ses conseils et astuces pour booster votre confiance en vous et votre estime de vous-mĂȘme ! QU’EST-CE QUE CELA VEUT DIRE ? C’est accepter et admettre qui l’on est publiquement. Que ce soient vos dĂ©fauts et vos qualitĂ©s. Accepter qui vous ĂȘtes, c’est l’arme infaillible contre les jugements. C’est aimer qui on est, ses rĂ©ussites et ses erreurs. S’accepter tel que l’on est, c’est la clĂ© pour ĂȘtre heureux et avoir confiance en vous. NOS CONSEILS POUR VOUS ACCEPTER TEL QUE VOUS ETES Se faire des compliments Ă  soi-mĂȘme Au lieu d’attendre les compliments de votre entourage, faites-les Ă  vous-mĂȘme ! Difficile pourtant car on est trop souvent tentĂ© de contrebalancer le compliment par une critique nĂ©gative envers soi-mĂȘme. J’ai un joli sourire aujourd’hui
 mais toujours un gros nez », ou alors j’ai minci
 mais j’ai toujours de la cellulite sur les cuisses ». Vous vous reconnaissez dans ces critiques ? Et oui, on est plusieurs dans ce cas là
 Apprenez Ă  voir au-delĂ  de vos dĂ©fauts. On est souvent trop dur et exigeant envers soi-mĂȘme mais faites vous des compliments sans ajouter de critiques ensuite ! S'entretenir sport, alimentation Pour ĂȘtre bien dans son corps, il faut l’entretenir ! Et cela passe avant tout par une bonne alimentation et une bonne condition physique. Mais il faut aussi que vous vous accordiez des moments de dĂ©tente tels que des massages, des soins, des masques
 Faites des choses qui vous font vous sentir bien allez chez le coiffeur, prenez un bain chaud, mĂ©ditez
 Pensez aussi Ă  hydrater votre corps. Il vous remerciera de toutes ces attentions et moments et vous, vous vous sentirez bien ! Voir ses qualitĂ©s physiques Si vous avez du mal Ă  voir vos atouts physiques, listez les sur une feuille. Cela vous permettra de vous rendre compte que vous avez Ă©galement des atouts et non pas que des dĂ©fauts ! Se mettre en valeur ArrĂȘtez de vous cacher sous des vĂȘtements trop larges ou sous une tonne de maquillage. Apprenez Ă  accepter vos petits dĂ©fauts mais surtout Ă  mettre en valeur vos atouts ! En vous mettant en valeur, vous attirerez le regard des autres sur ces atouts et non sur vos complexes. Etre bienveillant envers soi-mĂȘme et envers les autres Être bienveillant envers soi-mĂȘme c’est bien, mais il faut aussi l’ĂȘtre envers les autres. Il est important de faire des compliments Ă  autrui pour pouvoir vous, vous sentir bien dans votre corps. Si vous adoptez un regard positif sur les autres, vous aurez aussi l’impression que les autres seront bienveillants envers vous et cela boostera votre confiance en vous ! ArrĂȘter de se comparer C’est la pire erreur Ă  commettre et pourtant, on l’a tous dĂ©jĂ  fait ! Nos complexes physiques sont souvent dus aux autres. Se comparer Ă  des cĂ©lĂ©britĂ©s, des influenceuses, des stars ou mĂȘme Ă  des proches vous le faites encore trop souvent ? Il faut dire qu’avec le culte du corps parfait sans cesse montrĂ© sur les rĂ©seaux sociaux, difficile de ne pas complexer en se comparant
 Mais dites-vous que personne n’est parfait et que chacun a ses dĂ©fauts mĂȘme si vous ne les voyez pas Ă  l’Ɠil nu ! Apprenez Ă  vous accepter sans chercher Ă  vous comparer Ă  autrui. Faire du tri dans sa garde-robe C’est primordial de trier rĂ©guliĂšrement vos vĂȘtements pour ne garder que ceux dans lesquels vous vous sentez pleinement Ă  l’aise. DĂ©barrassez vous des habits trop serrĂ©s, trop petits, mal coupĂ©s ils vous feront vous sentir mal dans votre corps. L’important c’est de vous sentir beau/belle dans vos vĂȘtements ! CONCLUSION Ce travail sur vous-mĂȘme se fera progressivement. Vous ne pourrez pas vous mĂ©tamorphoser du jour au lendemain, apprenez Ă  ĂȘtre patiente et vous verrez du changement ! Si vous appliquez tous ces petits conseils, vous gagnerez confiance en vous chaque jour et votre reflet ne sera plus votre pire ennemi ! Loovia vous laisse avec cette courte vidĂ©o qui prĂ©sente 5 clĂ©s pour s'accepter tel que l'on est !
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